The Anniversary of the Foundation of l'Assomption town in Quebec, it's Official birthday, is August 11 1717, when the GOULET brothers came on that day to cut some tres for the first time to establish a new site, named L'Assomption.

Concession des lieux fut faite a M.M les Associes de Notre-Dame de Montreal: le 17 decembre 1640, a la suite du contrat touchant la concession de l'Ile de Montreal, on fit cette addition:

The best families of New France established themselves here and attracted others in their stead:
Godefroy de Tonnancour, Boucher, Denis Lemoyne, Juchereau, Guyon, ac.

Rene Dulong, was another resident of the area,
whose descendants eventually moved to Michigan in 1867.

RENE DULONG was a travelling clerk born in Montéal in 1759,
who married in 1789 Marie Leblanc of l'Assomption,
(daughter of Basile Leblanc &t Marie Landry, Acadian Refugees who were now the millers in l'Assomption).
Marie Leblanc had been born in exhile, around 1755 in Massachusetts.
One of the children of Rene and Marie was Francois-Richard DuLong, born on March 7 1791, who worked at his Leblanc Grand-parents' mill
and he married Marie Trullier dite Lacombe, Metis, on November 14 11820 in L'Assomption, daughter of Seraphin Truillier dit Lacombe and Marie Charlotte Cadotte (half Ojibway), born in December 1800, probably in Sault Ste. Marie; she was buried on May 6th 1833, in L'Assomption, Québec.
It is one of their children, Edward DuLong, who emigrated to the states, first in NY, before the Civil War, then in Michigan in 1867.
François-Edouard (Edward) Dulong, born on February 8 1821 married
Elise Langlois Mercier, a descendant from the Leneuf, Legardeur, Robineau families
Edward and Elise,s children, all in Michigan, got married in the families of:
Bourbonnais, Stanton, Monette, Baillon, Brunet, Prince, McGuinness, Curtis

Many of the Grand-children of Joseph Lemire-Marsolet and Madeleine Gaudry would adopt the MARSOLAIS spelling for their name, as a distinguishing trait. So we read in several baptism documents "so-and-so Marsolais, brother of so-and-so Marsolet, or nephew or uncle".

1740 - 1747 CHURCH INAUGURATION - MUSEUM (French)

Monsieur Pierre Lesueur fit l'inauguration de sanctuaire le jour de la fete de son patron, 29 juin.

Autour de l'eglise et du presbytere se grouperent bientot quelques maisons qui furent le centre de la paroisse.

Longtemps, a une couple d'arpents de l'extremite nord-est de la rue Ste-Anne, il y avait un camp occupe en permanence par des Indiens. Quelques pieces, telles haches en pierre, tetes de calumet qui y furent trouvees furent donnees au musee du College de l'Assomption ou on les exposa.

En 1742, Monsieur Pierre Lesueur, apres avoir solidement assis sa petite colonie, ou il travaillait depuis 18 ans, fut rappele au Seminaire de VILLE-MARIE; Il y vecut jusqu'en 1752, age de 68 ans.

Son successeur fut Monsieur Jacques Degeay, P.S.S., ne en 1717 au diocese de Lyon, arrive en Canada le 21 juillet 1742 et designe cette meme annee pour la cure de L'Assomption.

Les principales familles de l'endroit a son arrivee etaient celles des:
Archambault, Baudoin, Baudry, Bissot, Boucher, Chagnon, Chaput, Christin, Dalpee, Desmarais, Emery-Coderre, Galarneau, de Gannes-Falaise, Gareau, Harel, Hetu, Homier, Lemoine de Martigny, Lesage, Maheu, Martel, Mersille, Moreau, Mornay, Mousseau, de la Palliere, Panneton, Pariseau, Peltier ou Pelkin (Peloquin), Pichon-Toulouse, de Repentigny, Rolland, Roy, St-Onge, Senez, Tessier, Thoin, Vaillant, Margane de la Valtrie, de Vincennes.

Aussi en 1742, Joseph Lemire-Marsolet (lire Gaudry-Lemire) marie en 1727 a Madeleine Gaudry-Bourbonniere, de Varennes, vint s'etablir a L'Assomption avec sa famille.

Le premier Gaudry, nomme Nicolas, venait du Perche; il s'etablit a Quebec ou il epousa en 1653 Agnes Morin, soeur de la premiere religieuse canadienne, Marie Morin, Annaliste de l'Hotel-Dieu de Montreal, aussi bien que de M. Germain Morin, premier pretre canadien ordonne a Quebec.

Nicolas Gaudry avait un jeune frere nomme Jacques, qui epousa en 1673 Anne Poirier, dit Bellepoire, de Quebec.

Ces deux dames Gaudry etant devenues veuves, epouserent successivement Ignace Bonhomme, dit Beaupre, de Quebec; Agnes Morin en 1671, Anne Poirier en 1692. Les parents d'Ignace Bonhomme etaient venus de Fecamp, pays de Caux, Normandie, en 1640. Il etait le frere de Guillaume Bonhomme dont il est fait mention au registres du Conseil Souverain, 14 janvier 1665: "Nicolas Marsolet de Saint-Aignan, qui avait acquis la maison de Guillaume Bonhomme, la cede au Conseil Souverain pour y loger l'Executeur des Hautes Oeuvres.

Jacques Gaudry, fils de Jacques Gaudry et de Marie-Anne Poiriet, baptise le 13 janvier 1679, etabli a Varennes, se maria le 2 juillet 1703 a Marie Gaultier-Landreville, fille de Mathurin Gaultier de Montreal.

Leurs quatre premiers enfants furent brules dans l'incendie de leur maison le 21 janvier 1709. Marie-Madeleine Gaudry, de la Bourbonniere, baptisee le 31 mai 1711, maria le 4 novembre 1727 Joseph Lemire-Marsolet, des Trois-Rivieres.

Les Gaudry s'allierent aux Lesage, Goulet, Benoit, Peltier, Cadot, Ac.

Un des premiers soins de Mr. Degeay, apres sa nomination a la cure de l'Assomption avait ete de preparer les voies a la batisse d'une Eglise en Pierre. En 1749, Mgr. Henri-Marie Dubreil de Pontbriant, Eveque de Quebec, ayant fait sa visite pastorale, le plan fut mis a execution lorsqu'il donna par ecrit l'ordonnance suivante:

"Nous avons approuve le dessein et la resolution prise de batir une eglise de pierres sur le Coteau du Portage, et avons accepte le terrain destine a cet effet; voulant une copie en bonne forme du contrat nous soit envoyee sous quinze jours, avec l'approbation du seigneur. Avons ordonne et ordonnons de faire un plan de la dite eglise (y compris le cimetiere, qui sera autour de l'eglise) ferme des deux cotes du portail par une porte, afin qu'il soit par nous approuve, ou par notre Vicaire-General. Vu la requete de onze habitants dependant de la seigneurie de Bailleul et de Repentigny, par laquelle ils disent avoir toujours ete desservis par des missionnaire de St-Pierre sur la riviere l'Assomption, et que les plus eloignes des habitants dependent de l'eglise St-Pierre quoique de differentes seigneuries n'ont qu'une lieue pour se rendre a la dite eglise, nous les avons mis et mettons tous, a la paroisse St-Pierre, et avons ordonne qu'ils contribueront a la construcition de l'eglise et aux charges en general de toute la paroisse. Donne a Saint-Pierre, sur la riviere L'Assomption, dans le cours de nos visites ce 9 juin 1749...... Henri-Marie Dubreil de Pontbriant

La meme anne on fit l'election de deux marguillers qui furent Joseph Lemire-Marsolet et Joseph Crevier-St-Jean et de trois syndics pour tout le corps de la batisse de l'eglise: Blaise Juillet, Jean-Baptiste Lesage, Charles Prud'homme.

La pose de la premiere pierre eut lieu le 23 juin 1750; l'inscription etait comme suit

Joseph Lemire-Marsolet, tout au long de sa vie, se montra d'une integrite et d'un courage peu commun. Son histoire personnelle est sous la section "Gaudry-Lemire" et "Trois-Rivieres".

Parmi les plus anciens habitants de l'Assomption se trouvaient Jean Baptiste Lesage et Jean Baptiste Nepveu, qui se signalerent comme Maitres-Chantres.

Dans une assemblee tenue le 18 janvier 1767, presidee par Messire Etienne Montgolfier, Superieur du Seminaire de Ville-Marie et Grand-Vicaire de Mgr de Quebec ou hommages leur fut rendu, le premier, M. Lesage, pour 30 ans de services et le deuxieme, M. Nepveu pour 10 ans, sans avoir manque a aucun office.

La fabrique desirant temoigner quelque reconnaissance a ces Messieurs, resolut de s'en rapporter a ce que Monsieur le Grand-Vicaire deciderait.En consequence, il fut regle et decide par Mr. Montgolfier que ces deux Messieurs, lorsqu'ils viendraient a deceder, seraient inhumes en cette eglise avec quatre cierges au corps, quatre a l'autel et deux aux acolytes; le tout aux depens de la fabrique, ainsi que le fossoyeur.

La famille Lesage est une des plus anciennes du pays. Du temps de Champlain et Marsolet, on voit en 1624, Marguerite Lesage, Marraine de Marguerite Martin, fille d'Abraham.

Parmi les Canadiens restes a Quebec sous les Kerth (Kirke) lire Kirke se trouve la meme Marguerite Lesage, femme de Nicolas Pivert. En 1633, apres le depart des Anglais, elle est marraine de Marie Couillard, fille de Guillaume.

En 1686, le 9 janvier, fut celebre a Pointe-aux-Tembles le mariage de Jean Bernardin LeSage,fils de Jean Martin dit, Le Sage, et de Catherine Bretel de Turin en Piemont, avec Barbe Sylvestre, fille de Nicolas Sylvestre, venu de la Champagne, et de Barbe Nepveu, fille de Jean Nepveu, proprietaire de cette partie des Plaines d'Abraham dite les "Buttes a Nepveu"

ENFANTS DE BERNARDIN LESAGE ET BARBE SYLVESTRE :
1.Marie-Francoise (b.1690) mariee en 1712 a Jean-Paul Daveluy (Courtemanche)
2. Nicolas Lesage (b.1692) marie en 1714 a Francoise Paris, pere de Bernardin et Grand-Pere de Marie-Therese, dame Claude Chatelain
3.Marie-Louise (b 1694) mariee en 1716 a Jean Sugere
4. Jean Lesage(b.1698) marie 1* en 1721 a Marguerite Barette, 2* Madeleine Baugis, 3* Jeanne de la Motte
5. Jean-Baptiste, marie a Madeleine Alard, souche des Lesage de l'Assomption (...d'autres documents lui donnent pour epouse Marie-Barbe Sevestre) De Jean-Baptiste(b.1702), marie en 1726 a Madeleine Alard naquit un autre Jean-Baptiste Lesage, baptise le 3 aout 1732.

Deux Nepveu s'etablirent a Quebec en 1653; l'un, Jean Nepveu, venait de Montaign en Poitou, et l'autre, Philippe Nepveu, de Chartres. Celui-ci epousa Denise Sevestre (ou Sylvestre). Jean donna sa fille ainee, Barbe, a Nicolas Sylvestre.

C'est de Philippe Nepveu et Denise Sylvestre, fille de Charles, veuve d'Antoine Martin) que naquit Soeur Ste-Marguerite (C.N.D.) et Jean Baptiste, marie a Mademoiselle Johnston, qui s'etablit a l'Assomption vers 1757 en qualite d'instituteur.

Quelques annes plus tard, il acquit du Seminaire St-Sulpice, un terrain pres celui de la fabrique dont les bornes furent posees par M. Joseph Raymond.

Ce terrain passa successivement a Jean-Baptiste Senez, pere, marie a Suzanne Viger, beau-frere de Bonaventure Lemire(1775); au Docteur Jean le Roulier(1797);a Laurent Dorval (1801); a Timothee Dorval, frere de Laurent(1808). Un autre terrain joignant celui-ci et voisin de celui du Docteur Meilleur, fut vendu par Mde Nepveu(Johnston) a Mr. Timothee Dorval en 1814; le Docteur Meilleur ceda le sien a M. Ferreol Dorval, pretre, en 1847 et le tint joint au don de la Fabrique en 1846 formant le Terrain des Soeurs.

En 1759, non seulement le pays changea de maitre, mais il perdit deux hommes importants: Monsieur Louis Normant, le Superieur du Seminaire de Ville-Marie deceda au mois de juin 1759; Mgr Henri-Marie de Pontbriant deceda le 8 juin 1760.

Monsieur Degeay ayant insere copie de cette lettre dans les archives de la paroisse voici un extrait:

"Messieurs, le zele de Son Excellence Monsieur Carleton, notre illustre et digne gouverneur, pour le bonheur des peuples de cette colonie, le porte a me prier de vous recommander d'exhorter vos paroissiens a se bien accorder avec les anciens sujets de Sa Majeste ...d'etre fideles au gouvernement auquel la Providence les a assujettis, de ne point ajouter foi aux faux rapports, ni de nourrir de vaines et frivoles esperances qui ne pourraient que troubler leur repos, les detacher de leurs devoirs, et les porter a des demarches prejudiciables a leurs interets spirituels et temporels... Il desire que vous leur fassiez comprendre qu'il en est de leur devoir, s'il parvenait a leur connaissance qu'il se tramat quelque chose de contraire aux interets de Sa Majeste le Roi de la Grande-Bretagne, leur legitime Souverain, de donner avis sur le champ, soit au Gouverneur ou au Commandant en chef de sa paroisse, soit a l'eveque; et il espere particulierement de voir Messieurs, que vous serez exacts et prompts a executer cette commission, car il a une entiere confiance dans le clerge.

Rendons grace a Dieu de nous avoir donne un gouverneur si vigilant pour les interets de son prince, si zele pour la conservation de la paix, si bien prevenu en faveur des ecclesiastiques et si favorables a notre sainte religion.

Nous devons certainement soutenir les verites de la foi meme au peril de notre vie, mais il ne convient ni a la gloire de Dieu, ni au bien de la religion de le faire avec aigreur et mepris. Vous eviterez donc soigneusement de vous servie de termes offensants et injurieux pour ceux des sujets du Roi qui sont d'une autre religion; ceux de protestant et de freres separes seront les seuls dont vous vous servirez lorsqu'il sera absolument necessaire de le faire pour expliquer notre creance. Un autre conduite ne ferait qu'aliener les coeurs et troubler la bonne harmonie qui doit regner entre les anciens et les nouveaux sujets; elle ne ferait point de proselytes et pourrait engager le gouvernement a retirer la protection et la liberte qu'il veut bien accorder a notre sainte religion.

Vous accorderez au premier baillif de votre paroisse le premier banc de l'eglise et vous lui ferez rendre les memes honneurs qu'on rendait ci-devant au Capitaine de Milice.
Ce banc est le premier de la rangee du milieu, du cote de l'epitre"
Jean Olivier, Eveque de Quebec.

Par ordre du gouvernement, Monsieur Pierre Huet de la Valiniere ( de St-Sulpice) passa au diocese de Baltimore; il avait succede a M.Degeay. Le Seminaire de Saint-Sulpice etait force par les autorites d'abandonner l'administration des paroisses qui y avaient ete attaches et ne pouvant suffire a toutes ses charges, dut laisser le soin immediat des paroisses de sa seigneurie, St-Sulpice, L'Assomption, St-Jacques et se borner a envoyer le Procureur visiter ses censitaires a diverses epoques de l'annee.

En 1777, la cure de L'Assomption fut confiee a Monsieur Medard Petrimouly, ordonne a Quebec le 13 octobre 1754.

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L'Assomption 1777-1867
PART 2