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TRIBUNAL CORRECTIONNEL

Dossier Instruction 59/94

Liège, le 13 janvier 1999

Ce document de neuf pages A4 complète notre " dossier technique " du 23/12/98 qui contient treize

pages relatives à l'EXPERTISE JUDICIAIRE de Jean ALBERT par le Dr THONE, Médecin stomatologiste
(document 2, 13 pages au format A4).



I. P.V. 21.50.5842/92

Transmis à Monsieur le Procureur du Roi de Liège le 16/07/92

Police judiciaire de Liège

Annexes :
1.- la lettre du 01/03/92 de Guy COTTON adressée à Jean ALBERT dans laquelle on peut lire " (...) avant toute réhabilitation orale (...) le forfait comprenant l'appareil et les réglages se chiffre à 30.000 " BEF.
(ANNEXE UN = DOCUMENT 203 de l'Exposé des Faits).
2.- la lettre du 23/04/92 mentionnant l'Attestation de Soins Donnés (" ASD ") et " non repris dans le cadre du traitement par le plan de morsure "
(ANNEXE DEUX = DOCUMENTS 205 et 206 de l'Exposé des Faits).

Annexe :
3.- Annexons ces documents (pour mémoire).
(ANNEXE TROIS)

Annexe :
4.- Annexons le rapport de la dentiste PIEDBOEUF-DEBATTY. Pour rappel, cette dentiste va rédiger un rapport le 13 juillet 1992 sur des obturations dentaires qu'elle aurait « distraitement » observées le 28 avril 1992, soit près de trois mois auparavant. En effet, la dentiste PIEDBOEUF-DEBATTY (« dentiste ordinaire ») propose à Jean ALBERT de consulter la dentiste Isabelle DEBRUCHE (« spécialiste »), assistante à l'Université de Liège (au moment des faits, soit en mai et juin 1992), pour son « sérieux problème d'articulé dentaire » et de « réhabilitation orale ». Devant Isabelle DBRUCHE, Jean ALBERT va faire croire qu'il a honoré son P.M.R.I. à 17.000,- BEF, alors qu'il a reçu un devis de 30.000,- BEF et qu'il a payé ces 30.000,- BEF du P.M.R.I. à l'aide du chèque 290617. Par conséquent, il n'est nullement question de soins dentaires « attestables » sur une A.S.D., ni des neuf « obturations dentaires » que Jean ALBERT a reçues avant le 22 avril 1992 et encore moins d'obturations dentaires « non réalisées ». Un évènement majeur se produira en juillet 1992, poussant ainsi Jean ALBERT à tenter de récupérer, coûte que coûte, les 30.000,- BEF de son P.M.R.I.
(ANNEXE QUATRE = DOCUMENT 212 de l'Exposé des Faits).

Annexe :
5.- Annexons cette "  déposition administrative " de Jean ALBERT devant le Dr ERNOTTE.
(ANNEXE CINQ = DOCUMENTS 198 et 199 de l'Exposé des Faits).

Elément initial du dossier pénal = « ARAG » = 10 juillet 1992

Déclic = 10 juillet 1992 : Jean ALBERT reçoit une première lettre de l'ARAG (Compagnie de Défense en Justice de Guy COTTON) et c'est là que tout va déclencher au niveau pénal : en bon policier, il sait comment s'y prendre pour mettre la pagaille chez un dentiste qui lui réclame « de force » (via l'ARAG) des honoraires pour des obturations dentaires qu'il n'a pas envie de payer (16.600,- BEF = 2.767,- FF). D'un autre côté, comme son « Plan de Morsure » (30.000,- BEF = 5.000,- FF) « est complètement brisé » (il aime croquer des os de poulets ! ), Jean ALBERT s'estime « escroqué » et il veut récupérer à tout prix ses 30.000,- BEF qu'il a honoré (le « préjudice » est de 30.000,- BEF dans sa plainte judiciaire initiale). Le 4 septembre 1992, il reçoit une deuxième lettre de l'ARAG ( simple rappel de celle de juillet 1992) = deuxième vague d'assaut de Jean ALBERT, mais assaut beaucoup plus « musclé », grâce au fameux « coup de pouce » que le Dr Jean-Louis ERNOTTE (INAMI) lui donne... « Les copains d'abord ? » ...

EN MOINS D'UNE SEMAINE, Jean ALBERT VA S'ORGANISER POUR PROVOQUER :

Annexe :
6.- Annexons copie de cette ASD en reportant le lecteur au document " ANALYSE de " Jean ALBERT " par le Dr THONE " où il pourra lire en page 1/13 la " TRADUCTION de l'ASD 89*000887 du 22 avril 1992 " ainsi que la copie de l'ASD 89*000887 au dos de la page 13 /13 (document 2).
(ANNEXE SIX = DOCUMENT 197 de l'Exposé des Faits).

Annexe :
4.- Déjà annexé ci-avant : le rapport de la dentiste DEBATTY-PIEDBOEUF.
(ANNEXE QUATRE = DOCUMENT 212 de l'Exposé des Faits).

Annexe :
7.- Annexons le document compte-rendu de la Chambre restreinte de l'INAMI (neuf pages). La décision a été prise sur base de l'enquête du Dr ERNOTTE, Médecin assermenté, ayant comme mission de " veiller à l'application des dispositions légales et réglementaires concernant l'assurance obligatoire contre la maladie et l'invalidité ", comme signalé dans l'entête du P. V. d'audition de Jean ALBERT par le Dr ERNOTTE déjà annexé en annexe 5. D'ailleurs, Jean ALBERT fait partie du compte rendu de la Chambre Restreinte de l'INAMI, avec le constat dentaire de la dentiste DEBATTY-PIEDBOEUF, mais sans l'expertise du LSD Professeur FRANCOIS...
(ANNEXE SEPT - Neuf pages).





Guy Cotton
LSD, Université Catholique de Louvain,
Spécialiste en Occlusodontologie, Université de Paris VII,
Diplôme d'Occlusion neuromusculaire, ULg.