Pourquoi rien .. pourquoi tout ?

Pourquoi un jour l'euforie, pourquoi un instemps la dépression?
Pourquoi l'amour si ce n'est qu'un désert qui chaque jours nous brule et chaque nuits nous congel?
Pourquoi aimer si l'on ne peut l'etre de celle qui nous hante?
Pourquoi S'acharner une éternité pour découvrir dans l'espace d'un moment la triste réalité?
Pourquoi L'aimer si elle ne m'est pas destinée?
Pourquoi pleurer si elle me manque?
Pourquoi esperer si elle ne voudra pas?
Pourquoi percévérer si elle est deja prise?
Pourquoi la desirer si elle m'est separé?
Pourquoi l'injustice naturel, pourquoi le chaos dans se monde corrompu?
Pourquoi pourquoi Kar.. Kar.. Kar..?
Pourquoi s'initier dans ma vie et me la voler?
Pourquoi Le hazard si la logique remporte?
Pourquoi L'amitier devien amour?
Pourquoi l'amour devien mepris?
Pourquoi t'aimer si je ne peux t'approcher?
Pourquoi esperer si je ne peux y songer?
Pourquoi me sourir quand je ne peux te le dire?
Pourquoi la vie est elle comme toi, oh toi Karina, qui apparait soudenement et qui repart subitement?
Pourquoi rester si tu vas t'en aller?

Rage de temps

Que fesais-tu ce jour là il y a 5 ans, que fesaige cette nuit là?
J'aurais aimé partager ta joie, ton angoisse, ta peine tout ces moments, tous ces instemps.
J'aurais aimé savoir ce que tu fesais, ce qui te manquait.
Tout ces moments passés, sur les quels seul la parole peut argumenter, j'aurais voulu les vivres avec toi.
Mais hélas, ces moments resterons passés, prisonier du temps qui ne reviendra en arrière.
Dans ce temps perdu ce trouve toutes nos erreures, mais aussi touts les moments fantastiques que l'on a passés.
Il y a aussi toi, toi que j'aimerais connaitre avant que le présent ne devienne condanés pas les aiguilles de l'horloge.
Toi qui a défiée le temps, toi que mon temps aime, laisse moi t'aimer, laisse moi défier l'horloge.
Vestige tu temps, vestige d'amour, toi que j'aime, toi mon amour, laisse moi monter dans ton bateau intemporel, dans ce bateau ou le temps est néant, ou le temps est absent.
Là ou je pourrai t'aimer sans me rappeler tout ces moments que le temps ma volé, ces instemps que le temps nous a volé...

Dédier à : Karina ...

Attirance

Dans cette univer obscure ou je vivais, parmis tout ces corps a la derive, je t'ai vu, toi, toi d'on l'eclat est des milliers de fois moins fort que le soleil mais d'ont la puissence mes cent fois plus importante.
Dans le vide qui m'entoure je te vois, si loin mais si presente.
Je vois en toi de la vie et j'en eprouve de l'envie.
Toi que le soleil a choillie, toi qui semble m'igniorer, auraige un jour la chance de t'avoir a mes cotes?
Et meme si tu le voudrais, serait tu prete a changer d'orbite et sacrifier toute cette vie?
Car moi, Neptune, ne pourra t'approcher, seule toi ma jolie terre pourra m'evader de ce cercle eternel et perpetuel que m'impose ce system.
Je ne peut qu'esperer que ta masse m'entraine a la derive, a la derive avec toi,toi ma bouée de sauvetage insubmersible.
Oh terre de mes rêves, pense-y, pense-y bien avant que tu ne devienne esclave a jamais de cette vie que tu porte, car en elle, se cache une espece avide de controle.

Mirroir, mirroir

Ce sourir si envoutant, ces gestes si étincelant.
Tout ces gestes que tu fais, tous ces mots que tu dit, dans cette atmosphere pesante, tu es ma lueur presente.
Toi que la vie a faconner, toi qui est le vestige d'une oeuvre mainte fois aime, pourquoi suis-je attirer par toi comme un aiment?
Mais un aiment se distingue par ces deux poles, souvent l'un attire et l'autre repousse.
Ce mirroir dans lequelle ton reflet apparait, dans la quel on ne sait qui est la vraie.
Dans ce visage magnifique je sens le doute effroyable.
Cette oeuvre si aime ne s'est t'elle pas isole?
Et cette lueur n'est peut etre en fait que la lueur d'une chandelle éteinte?
Ces geste gouverné par un etre sans pitier qui se dissimulé derriere un corp en bauté.
Et ce sourir, n'est il pas finalement qu'un sourir mesquin controler par l'hipocrisie et l'agent sans esprit?
Pourquoi alors continuer cette comedie, toi qui aurait temps de vrais choses a me faire decouvrir, toi de qui mon coeur s'est épris?

Period

Ce n'est que le début, mais déjà, je le sens, il arrive,
il doit arriver, personne ne l'oublie, si oui, le grand
correcteur ne l'oublie pas, lui, a trop vouloir me
prolonger, je ne pourrais que trop le payer, je ne peut
donc que l'accepter, je ne suis pas la première,
ni la dernière, mon espèce s'éteindera un jour, mais là,
je me doit d'arrêter,car il est là,là a mes cotés.

Chataine

Mais ou te cachais-tu donc dans ma mémoire?
Avant que je ne te retrouve douce Hélène?
Toi qui me parrait maintenant comme une Reine
Pour moi, pion de ce roi jouissant de sa gloire.

Princesse dans ce royaume ou tu est la souvraine,
Oh Comme tout te dire, j'aimerais le pouvoir.
Crystal de mes désir, je voudrais te savoir.
Oseraige t'inviter a venir dans mon eden?

Quand pense tu, du haut de ta tour d'ivoir?
Me vois tu du haut de ces ruines anciènnes?
Sêce de te montrer à moi dans cette arènne.
Si vraiment tu aime cet être dérisoire,

Je suis damné à t'oublier dans mes remords.
Ma ci belle, si vraiment toute mes chances sont vaines.

Portrait

Ou te trouve tu, si douce inconue?
Toi envers qui je suis ému,
En ce Vendredi des plus ingras,
Devant ton visage avec t'ant d'éclat.

Dans cette maison au toit incongrue,
Cette première fois ou je t'ai appersus,
En un doux instemps, m'éteincela,
Du haut de cette tour aux milles karmas.

Oh pardonne moi si je n'ait su
Ton existance si atténue,
Toi ma tendre et chère Alexandra,
Joyaux que je ne connais pas.

J'espère que je ne serais déssus
De voir le temps reprendre son due,
Car cette foi, il n'y arrivera pas.
Celui qui ma déphaser de toi.

Te connaitre me sera hardue,
Car je ne sais ou trouvé ta vue,
En se moment, dans tous ces endroits.
Ces endroits autre que devant moi.

Prisonière de cette vitre sans issue,
Je te contemple que trop déssus.
Déssus de ne pas te sentire Toi,
Toi qui se trouve dans ce loin la-bas.

Oh délivre toi, délivre moi,
De ce terne cadre mainte fois trop étroit.
Oh vas y, n'hésite, évade toi,
De cette prison sans l'ombre d'un droit.

Access Denied

Seul un regard distrait,
Vers ton être si abstrait.
Juste le temps que mon coeur,
Sombre dans cette douce douleur.

Mystérieuse créature,
Au regard des plus pur,
Au simple corps envoutant,
Qui me rend dépendant.

Charmante Soixante-dix-sept,
Aux allures de dix sept.
D'une jeunesse incroyable,
D'un sourir remarquable.

Si jolie isolée,
D'après moi, l'ombragé.
Intouchable beautée,
Qui, envers moi, glassée

Pourquoi si belle Manon...
Me privé tes rayons?

Out Of Range

Belle et talentueuse jeune fille,
Q'apprecier dans un sombre hazard,
Rechercher parmis toutes ces iles,
Retrouver que beaucoup trop tard.

Cette désormet si jolie jeune femme,
Me hante dans un absant blizard.
Car si distante à mon égard,
Elle qui ne connait pas mon ame.

Cette aphrodite sous ces lentilles,
A qui si je peux, ferais vivre,
Ces endroits de présances qui brillent.

Toutes ces choses pour moi innutiles,
Sans pour voir, tes yeux-vert, Sarah,
Toi qui disparêtera suptile.

Ensoleillés passés

De ce berceau du nouveau monde, j'aurais pu te contempler de la ville libre ou parmis ces 10 millions de personnes, j'aurais pu te trouver dans cette jungle d'acier. La ou le temps est le même qu'ici, la ou 11h égale 11h. Mais pour ta carrière, tu décida de voyager à l'opposé, de découvrir un autre océan, de découvrir une savane étendue et peupler d'artistes, tout comme toi. Avant je te croyais loin, maintenant je te sens si loin, si loin que quatre heures me séparent de toi. Sur mon univers de rock, ou ton monde a commencer, te souviens-tu?, je ne peux que te regarder, distante, et je comprends la jungle urbaine de pleurer la perte de sa lionne. Te souviens-tu de l'hiver, te souviens-tu du froid, te rappelle tu des nuages gris te rappelle tu de la nuit? Toi qui ne profite que de la chaleur et des rayons de soleil dans cet Lost Angeles ou tu reste. Tu te rappelleras ces jours pluvieux plus souvent que des jours heureux, quand nous, nous souviendrons pour toujours de ces jours ensoleillés plutôt que de ces jours tristes que l'on passe chaques minutes. J'espère te voir quitter ces plages, ces vagues pour revenir vers ces quais, ces ports et peut-être même ce point noir de rock nommer Québec.

Come Back

Ma pauvre ville ne fait plus le poids contre les tiennes, elle qui jadis il y a 400 ans donnait un souffle nouveau a l'humanité est maintenant en train d'asphyxier. Tous ces ingrats descendants se sont enfuient vers de nouvelles patries plus grandes et plus jeunes. Mais quand reviendras-tu donc voir cette doyenne de l'Amérique, quand viendras-tu mélanger ton sang nouveau dans ce corps agonisant? Je t'en pris, le temps presse, ta grand-mère se meure, vas la voir avant qu'il ne soit trop tard…

Perdre son Lost

Toujours en vain j'écris ce vers,
Pour toi Sarah ma destinée,
Tes yeux, ton nez et ta volonté.
Toujours en vain j'écris ce vers.

Ton être entier me fait vibrer,
Quand encore, je suis ton flaire
Qui ma plongé dans ta gaieté.
Toujours en vain j'écris ce vers.

Oh de ta si intense présence,
J'aimerais te voir en vacance.
Toujours en vain j'écris ce vers.

Vient me rejoindre dans ce présent,
Avant que je plonge dans l'absent.
En vain j'ai écris ces vers.



Little Class

Petite et rapide jolie,
Sous ces beaux écrans de verres
Qui me croise l'aire tout instruit
Dans ces canaux si amers.

Little currupt clone of me,
Féminine de caractère,
Ta pensé logique je lis.
Be smart, you got to stay here.

Jolie mystérieuse amour,
Si conservé dans ses aires,
Pardonne-moi pour toujours

Ce jour ou je ne pourrais
T'apprécier de ces contours
Ce jour ou je suis poussière.

Le Strongle

Le Strongle est un être dur,
Qui ignore les bruits dans sa voilure.
Sa carapace acquise et si précise
Témoigne d'un passé sans assise.

L'hiver s'approche froide et impure,
De son corps blindé sans fissures.
Celle qui viendra chercher des vies,
Cet an encore sera servie.

Tous ces p'tits cure-dents affectif,
Qui méprisait Strongle jadis,
Perdrons leurs esprits instruits
Et seront, devant ce mur, pris.

Le Stongle passera la haie,
D'un seul pas, devant ces épais…

System Failure

Maîtresse du vrai, prêtresse du faux, sous l'étrangeté amère de ces signaux Vignycient exemple de ta Trinity.
Libéré de ce vaste monde illusoire, libéré de ces sommets
ensoleillés. T'ennuies-tu de Sydney ?
Âme humaine sous cet intrigant personnage, tes profonds
sentiments, je ne peux qu'entrevoir. Je ne sais ou trouver,
je ne sais quand chercher.
Ces 6 mois passés à South Wales, ces 6 mois ajoutés à ta vie,
m'ont permit de plonger dans ce gouffre nostalgique,
nostalgie des époques passés, nostalgie de tes
moments sous-estimés. Souvient toi ce lieu ou tu es née,
souvient toi Vancouver, Paris, Toronto et cette Los Angeles
de malheur. Rappelle-toi ces plus beaux jours de ta
charmante vie en ces lieux exotiques, je les traquerais
dans ma mémoire ces endroits ou, comme mon pays,
comme notre pays, seule l'histoire me sert de vaisseau
temporel. La pureté des " Je t'aime " ne saurait être assez
distillés pour noyés tes si jolis yeux aquas. Ta présence
m'ennuie, tes absences me détruisent, chaque fois que
je lis cet écrit, j'aimerai te savoir en ce moment, tel un
pointeur dans cette matrice. Ton nom je ne cesse de
crier entre les murs ternes du 303 de ma cervelle,
ou je me dois de fermer les portes pour ne pas que souffle
sur ta flamme le vent du temps. Il est déjà tard en ces
villes statique, puisse ta lueur continuer d'illuminer,
même après le générique...

Unexpected EOF

Je ne te connais, mais je sais.
A l'aube de ce solitude rivage, s'annonçait ton crépuscule.
Sur cette nuit, ou si calme la ville se soutenait sur ses
brillants estales une erreur est survenue.
Sans trop comprendre pourquoi, sans trop savoir quand,
il n'y aurait plus de lendemain.
La lourdeur des heures, le temps d'un dernier bonheur,
Avant qu'en un instant soit ton dernier malheur.
A la sortie de ce lien, un autre t'attendait.
Mais pourquoi bêtement, s'éteint une si belle chandelle?
Vacarme sans un son, puis plus rien.
Cette carapace métallique contient désormait ta carcasse
meurtrie, libérant ainsi ton esprit
de ces joyeuses espérances.

Un pure et dernier vent balaye le lisse élément.
Je ne t'ai connu, mais j'ai su.

Solstices

Dans cet univers noir ou je vivais,
éclairé par de fausses lumières, qui pour moi,
insomniaque de nature, a enfin vu l'aube.
Toi d'on les lointains rayons sont infiniment plus
puissant que toutes ces lucioles tamisées de vert.
Tel qu'acquis mon sombre désespoir persiste en ce triste
hiver car, les jours s'écrase sous les étoiles et je ne
sens qu'une faible chaleur de tes émissions.
Je t'écris désespérément pour que cesses crépuscules et que
vienne le doux solstice d'été.

Deeper hope

Ta sublime beauté me paralyse encor,
Encor, encor et encor quand une autre fois
Je me vois prisonnier de ses murs sans parois,
Captif dans ce cristal dès la vu de ton corps.

Figé sans un son, tu tyrannise mes désirs,
Du tison à la flamme ceux-ci me tourmentes.
Si tendre chaleur, de nouveau importante,
Je n'ai depuis seulement que le voeu d'y cendrir.

Que se cache t-il derrière les yeux de cette sirène,
Qui mena plusieurs bateaux aux abysses profonds?
D'un océan tu sauras envoûter qui conques.
Ne m'en veux pas si je sombre vers toi en cette scène.

Puisse un miracle me sauver du gouffre prévisible,
Mais si tel est le prix pour entendre cette douce voix,
J'y sacrifierais sur-le-champ ma vie deux fois.

Théorie

Combien de temps devrais-je encore subir tes imprévus
passages dans mon univers paisible? Ces éclats témoins de
ton individualiste indépendance? Combien de fois encore
voir tes bras entourer la connaissance au dépit de mon
coeur en ce moment? Unique beauté d'ont le sourire est aussi
intense qu'une supernova au firmament de sa courte agonie.
Tu es cette rare étoile dans mon obscur néant. Ton spectre
réel hante la vérité de mes pensées. Merveilleuse volatilité
qui me perd dans ce monde solide, aussi inconnue sois-tu.
J'admire les charmes abstraits émanant des fragments de ta
personnalité que je perçois attentivement. Il n'existe aucune
science pour décrire l'attraction de mon anti-matière sur ta
matière, seul ces quelques lignes sont l'ébauche d'une
théorie fabuliste. Laisse parler à travers les yeux de ta
créativité cette personne avec qui tu discute tous les jours
durant ces calmes bribes de l'heure, laisse sortir la voie
de ta si jolie merveille. Ouvre la lumière et fait connaître
tes lois.

...1998,1999,2000... And still stay

Qwzykx@hotmail.com