BREVIAIRE ALL-STARS
Pandore et le brigadier (Récitation) |
Jesus in bordelum (Récitation) |
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A Fond … |
Ah la Salope |
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Ah! Vous Dirais-je Maman |
Allons à Messine |
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Arrantzaleak |
Arrêtez, Arrêtez Cocher |
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L'Artillerie de Marine |
L'Artilleur de Metz |
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Au 31 du Mois d’Août |
Les avants de Bayonne : |
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Ave le petit doigt |
Le Bateau de Vits |
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La Belle Angèle |
La Belle et le Cantonnier |
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Les Bêtises |
La Bite à Dudule |
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Mon Berger Fidèle |
Boga Boga |
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La boîte à caca |
Sur les Bords de la Tamise |
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Ca coule |
La Capote Anglaise |
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Caroline la Putain |
C'est a boire qu'il nous faut |
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Cette soiree là |
Chanson Internationale |
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Charlotte |
Chevaliers de la table ronde |
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Les Chiens |
Le Cocu de Paramé |
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Comme les Autres Font |
Le Con et la Bouteille |
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Conseils d'une Putain à sa Fille |
Les couilles de mon grand-père |
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Le Cucu de la mémé : |
Le Cul de ma Blonde |
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Le Curé Pinot |
Dans mon pays d'Espagne |
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Derrièr' chez y a z'un p'tit bois |
La Digue du Cul |
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La Dispute du Cul et du Con |
Le Duc de Bordeaux |
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L'Enterrement du Roi des Maquereaux |
L'étudiante |
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Les Etudiants de France |
Fanchon |
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La Femme du Roulier |
La femme qui pète au lit |
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Les fetes de Mauleon |
Les Filles de Camaret |
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La Fille de Gonthier |
La fille du BEDOUIN |
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Les Filles de La Rochelle |
Le Fils Père |
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Les fraises et les framboises |
Frère Domino |
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Le Fusil |
Le Gendarme de Redon |
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Le Grand Vicaire |
Le Hussard de la Garde |
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Il est un coin de France |
Il était une Bergère |
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L'Incendie A Rio |
L'incendie a rio, Version II |
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L'Invalide à la Pine de Bois |
J'ai deux Amis |
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J'ai la quequette qui colle |
J'ai Vécu Neuf Mois Dans Un Ventre |
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Jean-François de Nantes |
Jean-Gilles, mon Gendre |
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Jeanneton |
La jeune fille du métro |
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Le Joueur de Luth |
Le Jour de l'An |
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Un Jour la p’tite Huguette |
La-haut sur la Montagne |
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Le Lézard |
Malbrough s'en va-t-en Guerre |
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Maman qu’est ce qu’un Pucelage |
La Marche Americaine |
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Margot |
Marie madeleine |
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Les Marteaux (pour JSEB) |
Les Moines de Saint-Bernardin |
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Les Morpions |
Le Mousquetaire |
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Le Musée d'Athènes |
On m’a donné Cent Sous |
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Les Orfèvres |
LA PEAU DES COUILLES |
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Le petit Navire |
Père Dupanlou |
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Le Père Simon |
La Pierreuse |
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La Pierreuse Consciencieuse |
La Pitxuri |
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Le Plaisir des Dieux |
Les Poivreaux |
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La Pompe à Merde |
Le Pou et l'Araignée |
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Quand je Bande |
En Revenant de Paris chez ma Tante |
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En Revenant du Piémont |
Le Roi Dagobert |
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Les Saints et les Anges |
La Semaine |
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Si tu n'as jamais joué |
Si j' t'encule |
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Tape ta Pine |
Le temps est loin |
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La Tour de Londres |
Les Trente Brigands |
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Trim, Troum, Tram |
Le troubadour |
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Les vingt-cinq Centimètres |
Le vit en rose |
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Vive la Bretagne |
Vivent les Etudiants |
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Cockles and mussels |
Flowers of Scotland |
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HAKA |
Swing low, sweet chariot |
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Father Abraham |
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|
|
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C'EST PAPA, C'EST MAMAN |
LES CHAMPS ELYSEES |
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Les COPAINS D'abord |
Mexico |
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SANTIANO |
LE RIRE DU SERGENT |
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SIFFLER SUR LA COLLINE |
Si tu vas à Rio |
Pandore et le brigadier (Récitation)
Bites-moi Pandore, vous êtes bien vaginal ce matin Où couillez-vous pédérastement en testiculant de la sorte
Bite, bite, Brigadier, le tampax. Je menstruelle; je m'en vais sur les foutrifications de la Bitte Montmartre. On y jouit d'un point de vulve particulièrement clitoresque sur les copulations laborieuses. Puis j'irai sur les verges fleuries de la Seine où se déroulent actuellement les fêtes Vénériennes, et j'irai à travers les chancres fleuris vers les Putes Chaumont voir les jeunes filles qui jouent au pénis avec leurs craquettes.
Bites-moi ,Pandore, enculeur comptez-vous rentrer, car demain ce son les érections
Ben! j'accrocherai le vagin de queue de l'automatrice et je serai là sur les couilles de baiseur, baiseur et demie, si j'ai trou du cul passion pas.
Eh bien! bandez bien, Pandore.
Merci, chef.
Jesus in bordelum (Récitation)
In eo tempore erat Jesus in calore, dixit discipulis etapostolis suis: "Cauda mea erecta est, tempora revolutasunt; eamus ad bordelum ut pinare!"
Discipuli responderunt: "Eamus, eamus"
Entraverunt in via Sancti Laurenti, arrivati ad portam bordeli Jesus dixit: "Silencia, silencia" tocavitque ad portam apparuit macrella monstruosa gueula fardata demandans; "Vultime coïre aut flanellam facere "
Responderunt: "Coïre, coïre!"
Entraverunt in salonum; Jesus vidit in canapeto sedente,macrella bene garnita cum gueula hospitalata.
Dixit Jesus:"Vultime ludere cum couillonibus meus "
Jesus foutavit pedem suum in culo sancti Tomasi quiquam super canapetum crampam tirabat et dixit: "Nullo discipulus meus coïre potet ubi dominus non gaudet."
Jesus payavit champagnum, sed Petrus bibit grenadinam cum aqua gazata nam calidam pissam habebat. Deboutonavit culottam suam: apparuit cauda immensa cum glando mirabile et couillonibus monstruosis. Jesus foutavit caudam suam in culo Maria Magdalena qui suscabat pinam sancti Matthei.
Poussavit ad fundum et dechargeatus, dixit Jesus:"Consumatum est".
Amis, il existe un moment
Où les femm's, les fill's et les mères,
Amis, il existe un moment
Où les femm's ont besoin d'un amant,
Qui les chatouille
Jusqu'à ce qu' ell's mouillent
Et qui les baise,
Le cul sur un' chaise.
Mes amis, pour bien chanter l'amour
Il faut boire (ter)
Mes amis, pour bien chanter l'amour,
Il faut boire et la nuit et le jour,
A qui A quoi
A la santé du petit conduit
Par où Margot fait pipi
Margot fait pipi par son petit concon,
Par son petit duit duit, par son petit conduit
A La santé du petit conduit
Par où Margot fait pipi
Il est en face du trou
Laï trou laï trou laï trou la lère
Il est en face du trou
Laï trou laï trou laï trou la la
Il est en haut du trou, etc...
Il est en bas du trou, etc...
Il est à gauche du trou, etc...
Il est à droite du trou, etc...
Il est très loin du trou, etc...
Il est tout près du trou, etc...
Il passera par le trou, etc
Parlé:
Attention! Verre aux lèvres!
Un instant de silence! Verre aux lèvres!
Une minute de recueillement! Verre aux lèvres!
Une seconde d'abnégation! Verre aux lèvres!
Un moment de méditation! Verre aux lèvres!
Un, deux, trois: A fond!
Il est passé par le trou, etc...
Il descendra par le trou, etc...
Il sortira par le trou, etc...
Ah ! la salope,
Ah! vous dirais-je Maman
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu
Auquel nous jouons tous deux
Il m'emmène dans le bois
Et me dit: "Déshabille-toi!"
Quand je suis nue tout entière
Il me fait coucher par terre
Et de peur que je n'aie froid
Il vient se coucher sur moi
Puis il me dit d'un ton doux:
"Ecarte bien tes genoux"
Et la chose va vous faire rire
Il embrasse ma tirelire
Oh vous conviendrez, Maman,
Qu'il a des idées vraiment !
Puis il sort, je ne sais d'où,
Un p’tit animal très doux
Une espèce de rat sans pattes
Qu'il me donne et que je flatte.
Oh le joli petit rat
D'ailleurs il vous l’ montrera.
Et c'est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu'il a trouvé, le farceur,
Où vous situez mon honneur.
Mais ce petit rat curieux
Très souvent devient furieux
Voilà qu'il sort et qu'il rentre
Et qu'il me court dans le ventre
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal
Complètement essoufflée
Il essaye de le rattraper
Moi je rie à perdre haleine
Devant les efforts d'Eugène
Si vous étiez là Maman
Vous ririez pareillement
Au bout de quelques instants
Le petit rat sort en pleurant
Alors Eugène qui tremblote
Le r’met dans sa redingote
Et puis tous deux nous rentrons
Sagement à la maison
Mon cousin est merveilleux
Il connaît des tas de jeux
Demain soir sur la carpette
Il doit m'apprendre la levrette
Si vraiment c'est amusant
J’vous l'apprendrai en rentrant
Voici ma chère Maman
Comment je passe mon temps
Vous voyez je suis très sage
Je fuis tous les bavardages
Et j'écoute vos leçons
Je ne parle pas aux garçons
Allons à Messine,
Gu gira gu eskual kantari tropa bat izendatu
Arrantzaleak
Maïte dugu eskual kantua eta arnoa gorria
Arrantzaleak gire bai Donibandarrak
Itsasoa da gure ama
Ziburutarak gira bai mariñel seme
Gurk itsasoa dugu maïte
Gure arbasoak joan ziren bezala Behar
Dugu abiatu
Bainan aldiz ez arrantzarat
Egun behar dugu kantatu
Etorri gira zuek alegeratzerat Bakearen
Ekartzerat
Denek bepetan kanta dezagun
Ez gira gu bate ilhun.
Arrêtez, Arrêtez Cocher
Arrêtez, arrêtez cocher
J'ai un poil du cul pris dans la portière
Arrêtez, arrêtez cocher!
J'ai un poil du cul qui va s'arracher!
Pourquoi pour un poil du cul, pour un poil du con
Fair' tant de manières
Pourquoi pour un poil du cul, pour un poil du con
Fair' tant de façons
J'ai fait trois fois le tour du monde
Et n'ai rien vu d'aussi poilu,
D'aussi poilu !
Ni de plus belle chose au monde
Que l' trou d' mon cul (ter)
L'artill'rie d' marine, voilà mes amours
Et je l'aimerai, je l'aimerai sans cesse,
L'artill'rie d' marine, voilà mes amours
Et je l'aimerai, je l'aimerai toujours
Si j' suis entré dans la marine
C'est qu' les obus sont si pointus,
Sont si pointus !
Qu'ils entreraient mieux qu'une pine
Dans l' trou d' mon cul (ter)
De Singapour jusqu'à Formose
J' n'ai jamais vu, non jamais vu,
Non jamais vu !
J' n'ai jamais vu chose aussi rose
Que l' trou d' mon cul (ter)
J'ai visité des capitales,
J' n'ai jamais vu, non jamais vu,
Non jamais vu !
Un' chose aussi parfait'ment sale
Que l' trou d' mon cul (ter)
A mon dernier voyage en Chine
Un mandarin gros et ventru,
Gros et ventru !
Voulu me foutr' le bout d' sa pine
Dans l' trou d' mon cul (ter).
Si j'étudie la médecine
C'est qu' les clystèr's sont si pointus,
Sont si pointus !
Qu'ils entreraient sans vaseline
Dans l' trou d' mon cul (ter)
J' ai fait trois ans de gymnastique
J' n'ai jamais pu, non jamais pu,
Non jamais pu !
Poser un baiser sympathique
Sur l' trou d' mon cul (ter)
L'adjudant-chef qu' est de service
A une sal' gueul' si mal foutue,
Si mal foutue !
Qu'on la prendrait sans plus d' malice
Pour l' trou d' mon cul (ter)
Quand j' s'rai un p'tit vieux qui radote
Et que bander, je n' pourrai plus,
Je n' pourrai plus !
J'irai voir Jeanne ou bien Charlotte
Pour m' lécher l' cul (ter)
Quand l'artilleur de Met
Arrive en garnison,
Toutes les femm's de Metz
Se fout'nt le doigt dans l' con !
Pour préparer l' chemin
A l'artilleur rupin
Qui leur foutra demain
Sa pin' dans le vagin
Artilleurs, mes chers frères,
A sa santé buvons un verre
Et répétons ce gai refrain:
Vive les femmes et le bon vin.
Quand l'artilleur de Metz
Demande une faveur,
Toutes les femm's de Metz
L'accord'nt avec ardeur
Et le mari cornard
Voit sur un même soir
Baiser également
La fille et sa maman
Quand l'artilleur de Metz
Quitte sa garnison,
Toutes les femm's de Metz
Se fout'nt à leur balcon
Pour saluer l' départ
De l'artilleur chicard
Qui leur a tant foutu
La pine au fond du cul !
Au 31 du Mois d’Août
Au 31 du mois d’Août, (Bis)
On vis venir, sous l’vent à nous, (Bis)
Une capote d’Angleterre,
Qui fendait la mer et les flots
Comme un joli petit bateau.
Tirons un coup, tirons en deux,
A la santé des amoureux !
A la santé du roi de France !
Et merde pour le roi d’Angleterre,
Qui nous a déclaré la guerre !
Le capitaine, immédiatement , (Bis)
Fît arrêter le bâtiment, (Bis)
Et la capote d’Angleterre,
Fut très vite sauvée des eaux,
Et remontée sur le bateau.
Dans la capote, y’avait un mot, (Bis)
Je suis au large de Bornéo, (Bis)
Naufragé sur une île déserte,
Avec trente filles qui ont le cul trop chaud,
J’ai la pine au bout du rouleau !
Le capitaine, tout aussitôt, (Bis)
Fit mettre le cap sur Bornéo, (Bis)
Mais quand enfin, on débarqua,
Le marin n’avait plus de roustons,
Et les filles se suçaient le bouton !
En voyant débarquer les gars, (Bis)
Les filles poussèrent des cris de joie, (Bis)
Et se jetèrent sur l’équipage,
Chacune étendue sur le dos,
Se fit baiser par trois matelots !
Tout l’équipage, pendant un mois, (Bis)
Baisa soixante-douze mille fois !
Et le navire revint en France,
Avec une vérole, mes agneaux !
Qui fut passé à tout Bordeaux !
Mademoiselle, faites vous belle
Votre galant viendra ce soir
S'il vous embrasse, faites-lui grâce
S'il vous mord criez bien fort
Allez-y poussez poussez les avants de Bayonne
Allez-y poussez poussez les avants bayonnais
Bayonne, Bayonne sur la Nive et sur l'Adour
Bayonne, Bayonne ville de mes amours
Et tous les Archanges
Ces enfants de putain
Quand ça les démange
Se grattent le boudin.
Ave, ave, ave, le petit doigt
Ave, ave, ave, le petit doigt
Les saints et les anges
Et tous les élus
Quand ça les démange
Se grattent le cul.
Le Bateau de Vits
Un bateau chargé de vits
Descendait une rivière
Une dame de Paris
Voulut en ach'ter un' paire
Pan, pan! de la Bretonnière
Pan, pan! de la barbe au con
Une dame de Paris
Voulut s’sn ach’ter un’ paire
Pour en choisir deux jolis
Envoya sa chambrière
Chambrière, en femm' d'esprit
S'en est servi la première
Ell' s'en est si bien servi
Qu'ell' s'est pété la charnière.
Et du cul jusqu'au nombril
Ce n'est plus qu'une vaste ornière
Les morpions nagent dedans
Comme poissons en rivière
On croit baiser par devant
Va t' fair' foutr', c'est par derrière!
On croit être son amant,
On n'est qu' son apothicaire
On croit l'aimer tendrement
On ne lui donn' qu'un clystère
On croit lui faire un enfant
Tout' la cam'lott' tomb' par terre
Et on s' dit en l'écrasant:
Toi, tu n' tueras point ton père
Et tu n'écorcheras pas
Le joli con de ta mère
La belle Angèle a bientôt seize ans
Pomp'-moi l' noeud, prends-moi les joyeuses
Pour son âge ell' baise énormément
Pomp'-moi l' noeud, branle moi le gland
La belle Angèle mouille tant et tant...
Pomp'-moi l' noeud, prends-moi les joyeuses
Rien qu'avec elle on remplit l'étang...
Pomp'-moi l' noeud, branle moi le gland
Le curé dans la sacristie
Lui apprend les bonnes manières
La façon de gober le vit,
A genoux comm' pour la prière
Au pays c'est la plus douée
Pour avaler la fumée
Et son cul fait mêm' bander
Monsieur le maire qui est pédé
La belle Angèle a de beaux seins blancs...
Pomp'-moi l' noeud, prends-moi les joyeuses
Comm' les mamell's de la vache à Jean...
Pomp'-moi l' noeud, branle moi le gland
La belle Angèle quand ell' va aux champs...
Pomp'-moi l' noeud, prends-moi les joyeuses
Tout le cheptel des taureaux l'attend...
Pomp'-moi l' noeud, branle moi le gland
Les puceaux de tout le canton
Sont passés par ses doigts habiles
Et mêm' la rosièr' nous dit-on,
N' va plus s' faire gougnoter en ville
Maintenant le vieux notaire
N' se branl' plus en solitaire
Et chacun s'envoie en l'air
Pendant les longu's soirées d'hiver
La belle Angèle a bientôt seize ans...
Pomp'-moi l' noeud, prends-moi les joyeuses
Tire la moelle à tous les passants...
Pomp'-moi l' noeud, branle moi le gland
Ell' fait des concours de succion
Avec les traieus's électriques
Devant les pin's en érection
C'est ell' qu a la meilleur' technique
Après cette exhibition
C'est la grand' fornication
On vient d' loin dans la région,
Pour lui mettre un coup dans l'oignon
La belle Angèle a bientôt seize ans...
Pomp'-moi l' noeud, prends-moi les joyeuses
N'est plus pucell' derrièr' ni devant
Pomp'-moi l' noeud, branle-moi le gland (bis)
(Air : Sur la route de Louviers)
J'ai fais pipi sur le tapis
J'ai fais caca sur le sofa
Et comme t'étais toujours pas là
Je me suis tapé le gros chat.
Fallait pas m'sucer comme ça
Il est beau l'éjaculat
Je fais rien que des bêtises des bêtises
Quand t'es pas là.
Alors j'ai pris l'aspirateur
Qui connaît mon vagin par coeur
Et comme t'étais toujours pas là
J'ai aspiré mes ranianias
Fallait pas t'beurrer tu vois
Il est beau le résultat
Tu fais rien de tes deux boules tes deux boules
Quand t'es trop saoul
Alors j'ai pris l'vibromasseur
Qui m'fait 25 orgasmes à l'heure
Et comme t'étais toujours pas là
Je me suis retapé l'gros chat.
Fallait pas m'sucer comme ça
Il est beau le résultat
Je fais rien que des turlutes des turlutes
Quand j'suis en rut.
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement;
Ils étaient heureux
Et du soir au matin
Ils allaient au turbin,
Le cœur plein d'entrain.
A l'atelier, les copin's lui disaient:
"Pourquoi qu' tu l'aim's, ton Dudule
Il est pas beau, il est mal fait";
Mais elle, tendrement, répondait:
"Z' en fait's pas, tagadagada,
Les amies, tiguidiguidi,
Moi c' que j'aime en lui."
"C'est la gross' bite à Dudule,
J' la prends, j' la suce, elle m'encule,
Ah! que c'est bon que c'est chaud, que c'est rond
Quand il m' la cal' dans l'oignon'
C'est pas un' bite ordinaire
Quand il m' la fout dans l'derrière,
De foutre et de merde elle est toute remplie
Des couill's jusqu'au nombril,
A Dudu-ule"
Ca durait d'puis longtemps
Entre les deux amants,
Ca dev'nait gênant;
Voilà que d'jour en jour
S'accroissait leur amour,
C'était pour toujours.
Quand un' bell' fill' pas trop mal fagotée
Vint lui chiper son Dudule,
L'était pas beau, l'était mal fait,
Mais elle, tendrement, répondait:
"Z' en faites pas, tagadagada,
Les amies, tiguidiguidi
Moi c' que j'aime en lui."
J'étais seule un beau soir,
J'avais perdu l'espoir,
Je broyais du noir;
Mais voilà que l'on sonne,
Je n'attendais personne,
Je reprends espoir
Mon petit coeur se mit à fair' boum-boum'
Si c'était là mon Dudule
L'était pas beau, l'était mal fait
Mais moi, tendrement, je l'aimais
J'ouvr' la porte, tagadagada,
J' tends les bras, tagadagada
Et qu'est-ce que je vois
Oh mon berger fidèle
Viens-t-en reposer sur mon cœur,
sur mon cœur, sur mon cœur,
A ma voix qui t’appelle,
Viens-t-en me donner le bonheur,
le bonheur, le bonheur
Ah ! Fous moi donc ta pine dans l’cul,
Et qu’on en finisse
Ah ! Fous moi donc ta pine dans l’cul,
Et qu’on en parle plus.
Je sens tes testicules,
Battre contre mon pétard,
mon pétard, mon pétard
Je sens que tu m’encules,
Oh le vaillant braquemard,
braquemard, braquemard...
Ta langue me trifouille
Du con au sommet de mes seins,
de mes seins, de mes seins
Et ton doigt me chatouille
Jusqu'au plus profond du vagin,
du vagin, du vagin…
Mais ta queue deviens molle,
Tu ne peux plus bander,
plus bander, plus bander,
Oh désir qui m’affole,
Passe moi le godemiché,
godemiché, godemiché...
Boga, boga, Marinela, Marinela!
Joan behar degu urrutira, urrutira,
Bai Indietara, bai Indietara.
Ez det, ez det nik ikusiko
Zure plai ederra;
Agur, agur, Ondarroako itsaso bazterra!
Marinela! Boga! Marinela
Je plongerai tout nu dans l'océan
Pour te ramener, des poissons d'argent
De jolis coquillages merveilleux
Mais moi en échange, tu sais ce que je veux 1,2,3
Lèche moi, lèche moi, la boîte à caca, la boîte à caca.
Lèche moi, lèche moi, la boîte à caca, la boîte à caca.
C'était une belle salope
Elle avait le cul malpropre.
Quand je la sodomisais,
Elle criait : "Allez, allez."
Lèche moi, suce moi, la boîte à caca, la boîte à caca.
Mais aussi, mais aussi, la boîte à pipi, la boîte à pipi.
That was an old one bitch
Who had a dirty asshole
When I "sodomized" her
She was crying : "Come on ! Come on !"
Come on ! Come on ! Come on !
Lick, lick me ! Lick, lick me !
The caca box ! The caca box
Lick, lick me ! Lick, lick me !
The caca box ! The caca box
Sur les bords de la Tamise
Un anglais se promenait
Il était en bras d' chemise
Et ne cessait de répéter:
"J'ai un morpion qui me gratte les couilles
J'ai un morpion, je ne peux l'attraper"
Sur les bords de la Tamise
Deux anglais se promenaient!...
Je mets ma main sur ta mouleeeeuh
Et je m'aperçois que ca couleeeeuh
Ah salope tu m'avais pas diiieuh
Que t'avais tes règles aujourd'huiiieuh..
English version: I put my hand on your pussy
And I forsee that it's flowingue
Ah Salope you didn't tell me
You had your period today
(air : la paimpolaise)
Dans la chambre d’une petite femme,
Un bleu allait perdre sa vertu,
Quand pris de remords pour son âme
De sa famille il s’est souvenu
Quand il est parti
Son père lui a dit :
Mon cher fils, chaque fois que tu baises,
Ce qui arrive étant étudiant,
N’oublie pas ta capote anglaise,
Ca t’évitera des accidents !
Ecoutant se que lui dit son père,
Le bleu s’mit un préservatif,
Mais la belle ne s’laissant pas faire,
Les seins gonflés, les yeux lascifs,
dans ses bras le prend,
Et dit tendrement,
Ne met pas de capote anglaise,
Dans mon con, met ton vit tout nu,
C’est bien meilleur lorsque l’on baise
De sentir couler le bon jus !
Ecoutant c’que lui dit la belle,
Le bleu ôta l’preservatif,
Et se couchant tout nu sur elle,
dans son p’tit trou il mit son vit,
Le bleu déchargeant,
Dit en gémissant,
Au diable la capote anglaise,
Et tout les conseils de Papa,
C’est bien meilleur lorsque l’on baise,
Enlacé dans d’aussi beaux bras
Huit jour après cette aventure,
Le bleu dans un urinoir,
Sentit tout a coup une brûlure,
L’malheureux pissait des rasoirs,
Regardant son vit,
Tristement il dit
Que n’ai-je mis de capote anglaise,
Suivant les conseils de Papa
C’est plus prudent lorsque l’on baise
Je n’en s’rais pas à ce point là
Amis, versez nous donc à boire,
Versez à boire et du bon vin
Tintin, tintin, tintaine et tintin,
Je m'en vais vous conter l'histoire
De Caroline la putain
Tintin, tintaine et tintin.
Son père était un machiniste
Au Théâtre de l'Odéon,
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Sa mère était une fleuriste
Qui vendait sa fleur en bouton
Tonton, tontaine et tonton.
Elle perdit son pucelage
Le jour d' sa premièr' communion...
Avec un garçon de son âge
Derrièr' les fortifications...
À quatorze ans, suçant des pines,
Elle fit son éducation...
A dix-huit ans, dans la débine,
Ell' s'engagea dans un boxon...
À vingt-quatre ans, sur ma parole
C'était une fière putain...
Elle avait foutu la vérole
Aux trois quarts du Quartier-Latin...
Le marquis de la Couillemolle
Lui fit bâtir une maison...
A l'enseign' du morpion qui vole
Une belle enseign' pour un boxon...
Elle voulut aller à Rome
Pour recevoir l'absolution...
Le pape était fort bien à Rome
Mais il était dans un boxon...
Et s'adressant au grand vicaire,
Ell' dit: "J'ai trop prêté mon con"...
"Si tu l'as trop prêté ma chère,
A moi aussi prête-le donc"...
Et la serrant entre ses cuisses,
Il lui donna l'absolution...
Il attrapa la chaude-pisse
Et trent'-six douzain's de morpions...
Elle finit cette tourmente
Entre les bras d'un marmiton...
Elle mourut la pine au ventre
Le con tendu jusqu'au menton...
Et quand on la mit dans la bière,
On vit pleurer tous ses morpions...
Et quand on la mit dans la terre,
Ils entonnèr'nt cette chanson...
Nous étions cinq, six bons bougres
Qui rev'naient de longjumeau.
On entra dans une auberge
Pour y boire du vin nouveau, oh!
C'est à boire, à boire, à boire,
C'est à boire qu'il nous faut,
Oh! Oh! Oh! Oh!
C'est à boire, à boire, à boire,
C'est à boire qu'il nous faut!
On entra dans une auberge
Pour y boire du vin nouveau,
Chacun fouilla dans sa poche
Quand il fallu payer l'pot, oh!
Chacun fouilla dans sa poche
Quand il fallu payer l'pot,
Le plus riche fouille dans la sienne
Et n'y trouve qu'un écu faux, oh!
Le plus riche fouille dans la sienne
Et n'y trouve qu'un écu faux,
"sacrebleu! Dit la patronne
Qu'on leur prenne leurs shakos, oh!"
"sacrebleu! Dit la patronne
Qu'on leur prenne leurs shakos"
"nom de dieu, dit la patronne
Leurs capot's, leurs godillots, oh!"
"nom de dieu, dit la patronne
Leurs capot's, leurs godillots",
Quand ils furent en liquette
Ils montèrent sur les tonneaux, oh!
Quand ils furent en liquette
Ils montèrent sur les tonneaux,
Leurs liquettes étaient si courtes
Qu'on leur voyait leurs marteaux, oh!
"sacrebleu, dit la patronne
Qu'ils sont noirs, mais qu'ils sont beaux"
"jarnidieu, dit la p'tite bonne,
J'en voudrait ben un morceau, oh!"
"jarnidieu, dit la p'tite bonne,
J'en voudrait ben un morceau,"
"ventrebleu, dit la patronne,
Tous les six il me les faut, oh!"
"ventrebleu, dit la patronne,
Tous les six il me les faut,"
Et depuis sur cette auberge
Il y a un écriteau, oh!
Et depuis sur cette auberge
Il y a un écriteau, oh!
"c'est ici qu'on boit, qu'on verge
Et qu'on paie à coups d'marteaux, oh!"
(sur l'air de "cette année-là" de Claude François)
Cette soirée là, je baisais pour la première fois
Ton pubis ne me connaissait pas
Oh quel pied cette soirée-là !
Cette soirée là, je t'ai arraché ton porte-jarretelles
Et j'ai vu que tu n'était plus pucelle
Et que ton pubis aimait ça !
Cette soirée-là, dans ton cul venait ma grosse trique
Et toi tu voulais que je te renique
Ah quel pied cette soirée-la !
Cette soirée-la, je t'ai dit "fait moi une turlute"
Et toi tu m'as mis ta langue de pute
Oh quelle orgie cette soirée-la !
C'était hier mais aujourd'hui rien n'a changé
C'est la même posture qui ce soir recommence encore
LA POSITION: 69...
Chanson Internationale
En Français |
C'est Thérèse qui rit quand on la baise. |
En Latin: |
Romulus aime à c'qu'on la lui suce. |
|
|
Les oiseaux, gazouillent dans les prés |
En Grec: |
Socrates qu'a la quéquette en os. |
|
En Allemand |
Baisse ta gaine, Irma, que j'baise ta Krupp. |
En Libanais: |
Mustapha qu'a mal à sa Beyrouth. |
|
En Anglais |
Master John souvant se branle the bite. |
En Israélien: |
Sors ton zob afin qu'j'Tel-Aviv. |
|
En Américain |
Walt Dysney a mis sa pinocchio. |
En Egyptien: |
Rien Nasser de s'obstruer l'canal. |
|
|
La Missouri quand la Minnesota |
En Algérien: |
Par derrière,c'est 300 francs moins cher. |
|
En Cubain |
Tu m'castro les couilles quand t'as le cuba |
En Marocain: |
Dans ses Fez, j'sens ma bite qu'il Rabat. |
|
En Ecossais |
Quitte ton kilt, que j'ecosse ton p'tit pois. |
En Portugais: |
Alonzo plumard y faire minette. |
|
En Suisse |
Moi, j'te Berne, t'auras que mon trou de Bâle. |
En Espagnol: |
Don José y baise et bande à l'aise. |
|
En Luxembourgeois |
C'est inouï les poules de luxe-j'en-bourre. |
|
J'ai l'Cordoue, tu peux y aller Franco. |
|
En Belge: |
Ton Anvers voudrait que mon Ostende. |
En Mexicain: |
Don Carlos s'prend les couilles au lasso. |
|
En Hollandais: |
Quand elle pine, la Reine a vilaine mine. |
En Coréen: |
Y subit sa pine en chiant dessus. |
|
En Tyrolien: |
Mets-la lui là où il y a le trou. |
En Japonais: |
L'amiral qui du haut du mât chie. |
|
En Tchèque: |
Quand j'érecte, j'éjecte du sperme sec. |
En Chinois: |
Qui c'est qui t'a mis ça au cul. |
|
En Polonais: |
Wizlowsky s'lave la pine au Whisky. |
En Indien: |
Calcutta putain, vas t'faire Bombay. |
|
La capote souvent elle Cracovie. |
En Malgache: |
Bande bien fort car Tanana-arrive. |
||
En Italien: |
Bénito fait mimi à la Tosca. |
En Russe: |
Molotow suce la pine au sous-off. |
|
|
T'as Milan, mais tu me raviolis. |
Dans son boudoir la petite Charlotte,
Chaude du con faute d’avoir un vit,
Se masturbait avec une carotte
Et jouissait étendue sur son lit
Et branle, branle, branle Charlotte,
Branle, branle, ça fait du bien,
Et branle, branle, branle Charlotte,
Branle, branle jusqu'à demain
Ah, disait-elle dans le siècle ou nous sommes,
Il faut savoir se passer des garçons,
Moi pour ma part je me fous bien des hommes,
Avec ardeur je me branle le con.
Alors sa main n’était plus paresseuse,
Allait, venait comme un petit ressort,
et faisait jouir la petite vicieuse
Aussi ce jeu lui plaisait-il fort
Mais oh ! malheur, oh fatale disgrâce,
La jouissance lui fit faire un brusque saut
Du contrecoup la carotte se casse
Et dans le con il en reste un morceau
Un médecin, patricien fort habile,
fut appelé qui lui fit bien du mal,
Mais par malheur la carotte indocile,
Ne put sortir du conduit vaginal
Chevaliers de la table ronde
Goûtons voir si le vin est bon
Goûtons voir, oui oui oui
Goûtons voir, non non non
Goûtons voir si le vin est bon
Qu'ils sont heureux les chiens
Qui font pipi dans la rue
Qu'ils sont heureux les chiens
Personn' ne leur dit rien
Pschiiiit
Le Cocu de Paramé
Si vous voulez un' fille
Un' fille à marier
N'allez pas la chercher
Au bourg de Paramé
Comme un con
Ah! marie-t-on là les filles
Ah! marie-t-on là les gars
N'allez pas la chercher
Au bourg de Paramé
Car moi j'en ai pris une
Et j' suis ben emmerdé
Comme un con
La premièr' nuit d' mes noces
Avec ell' j'ai couché
J'y pass' la main su' l' ventre
J'ai senti l' gosse bouger
Je m' retourn' contr' le mur
Et me mets à chialer ...
Ne pleur' pas mon p'tit Pierre
Parc' que j' t'ai cocufié
J' t'achèt'rai un' bell' vache
Un' vach' ben encornée
J'y couperai les cornes
Et je t' les f'rai porter
On dira dans l' village
V'là l' cocu d' Paramé
- Oh! ma mèr' ma pauvre mère (bis)
Je voudrais me mari-er (bis)
Je voudrais me marier comme les autres
Pour avoir fille et garçon(bis)
Comme les autres font. (bis)
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
De quoi les nourriras-tu
Je les nourrirai comme les autres
Du lait de mes blancs nichons
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
De quoi les vêtiras-tu
- Je les vêtirai de lain' comme les autres
De laine et de blanc coton
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
De l'argent en auras-tu
- Le soir derrièr' les buissons, comme les autres
Je trouss'rai mes blancs jupons
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
Et ta vertu qu'en fais-tu
- Ma vertu, je l'ai au cul, comme les autres
Ma vertu, je l'ai au con
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
Ton mari sera cocu
- Si mon mari est cocu, comme les autres
Il port'ra des corn's au front
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
Ton honneur sera perdu
- Si mon honneur est perdu, comme les autres
J' m'engag'rai dans un boxon
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
Dans c' boxon, qu'y feras-tu
- J'y jouerai du cul, du con, comme les autres
J'y attrap'rai des morpions
Comme les autres font.
- Mais, ma fill', ma pauvre fille
T'attrap'ra du mal au cul
- Si j'attrap' du mal au cul, comme les autres
Je m' foutrai des injections
Comme les autres font.
Nargué des pédants et des sots
Qui viennent chagriner notre âme:!
Que fît Dieu pour guérir nos maux
Les vieux vins et les jeunes femmes
Il créa pour notre bonheur
Le sexe et le jus de la treille
Aussi je vais en son honneur
Chanter les cons et les bouteilles! (bis)
Dans l'Olympe, séjour des Dieux
On boit, on patine des fesses,
Et le nectar délicieux
N'est que le foutre des déesses
Si j'y vais, jamais Apollon
Ne charmera plus mon oreille;
De Vénus je saisis le con,
De Bacchus je prends la bouteille! (bis)
Dans les bassinets féminins
Quand on a trop brûlé d'amorces,
Quelques bouteilles de vieux vin
Au vit rendent toute sa force
Amis, plus on boit, plus on fout;
Un buveur décharge à merveille
Aussi le vin pour dire tout
C'est du foutre mis en bouteille (bis)
On ne peut pas toujours bander,
Du vit le temps borne l'usage
On se fatigue à décharger
Mais, amis, on boit à tout âge
Quand aux vieillards aux froids couillons,
Qu'ils utilisent mieux leurs veilles;
Quand on n' peut plus boucher de cons
On débouche au moins des bouteilles! (bis)
Mais hélas! depuis bien longtemps,
Pour punir nos fautes maudites,
Le Bon Dieu fît les cons trop grands
Et les bouteilles trop petites
Grand Dieu! fais, nous t'en supplions!
Par quelque nouvelle merveille
Toujours trouver le fond du con
Jamais celui de la bouteille! (bis)
Conseils d'une Putain à sa Fille
Tu vas donc quitter la famille
Pour t'engager dans un boxon;
Je ne t'empêche pas ma fille
Puisque c'est là ta vocation
Ecout' les conseils d'une mère
Qui avant toi fit le métier:
Tu n'as jamais connu ton père
C'était peut-êtr' tout le quartier
Adieu, fais toi putain,
Va t-en gagner ta vie
Adieu, fais toi putain,
Va-t en gagner ton pain
Evite surtout la vérole,
Chancres poulains et caetera
Et ne crois pas sur sa parole
Le baiseur qui te la foutra;
Regarde bien dans sa culotte
Si son vit est bien entret'nu
Et retrousse bien la calotte
Avant de t' la fourrer dans l' cul
Evite bien la maquerelle
Et encor' plus le maquereau;
Tâche de te conserver belle
Et pour ça n'évite pas l'eau:
Cent fois par jour, dans ta cuvette,
Lave-toi l' con bien proprement
Et sur la table de toilette
Que l'onguent gris soit abondant
Evite bien une grossesse,
Ne te laisse pas engrosser,
En resserrant un peu les fesses
Il n'y a guère de danger
Avec cett' chèr' capote anglaise,
Reçois ma bénédiction
Et maintenant, baise à ton aise
Et ne crains plus que les morpions.
Les couilles de mon grand-père
Le cucu de la mémé
Fait lever la bite (bis)
Le cucu de la mémé
Fait lever la bite du pépé
La bi bite du pépé
Fait mouiller le trou (bis)
La bi bite du pépé
Fait mouiller le trou de la mémé
Le Cul de ma Blonde
J'ai tâté du vin d'Argenteuil
Et ce vin m'a foutu la foire
J'ai voulu tâter de la gloire
Une balle m'a crevé l'oeil
Des catins du grand monde
J'ai tâté la vertu
Des splendeurs, revenu,
Je veux tâter le cul…
De ma blon-on-de, de ma blon-on-de
Des splendeurs, revenu,
Je veux tâter le cul
De ma blon-on-de, de ma blon- on-de
Preux guerriers, vaillants conquérants
Fi de la gloir' qui vous éclope
Votr' maîtresse est une salope
Qui vous pince en vous caressant!
Empoignez-moi la ronde
Et la lance et l'écu
De peur d'être cocu
Moi j'empoigne le cul...
Y a des gens qui font la grimace
Quand ils voient Monsieur le Curé
Promener dedans une châsse
Un bon Dieu en cuivre doré
Ce bon curé se trompe
Il serait mieux venu
Si foutant là l' Jésus
Il promenait le cul...
Mon fils. me dit un vieux dervî,
Permettez que l'on vous le dise
A baiser sans permis d'église
Vous perdez le saint paradis
Vous foutez-vous du monde
Dis-je à ce noir cocu.
Le paradis perdu
Vaut-il un poil du cul...
Puisque ici bas, l'homme jeté,
Doit mourir comme une victime
Je me fous du trépas sublime,
J'emmerde l'immortalité!
Puissé-je en passant l'onde
Du fleuve au dieu cornu
Godiller ferme et dru
Et mourir dans le cul...
Le Curé Pinot
Je m'en vais vous conter l'histoire
De Pinot curé d' chez nous.
Pinot cu- papa
Pinot cu- maman
Pinot curé de chez nous
Monsieur l' curé a des plat's-bandes
Il en cultive les fleurs
Il en cul- papa
Il en cul- maman
Il en cultive des fleurs
Monsieur l' curé a des calottes
Des calott's de velours noir
Des calot- papa
Des calot- maman
Des calott's de velours noir
Monsieur l' curé un' fontaine
Au bord d'elle, il va s'asseoir.
Au bord d'el- papa
Au bord d'el- maman
Au bord d'elle il va s'asseoir
Monsieur l' curé, il monte en chaire
Son grand vicaire le suit
Son grand vi- papa
Son grand vi- maman
Son grand vicaire le suit
Monsieur l' curé a un carrosse
Ses roues pèt'nt sur le pavé.
Ses roues pèt- papa
Ses roues pèt- maman
Ses roues pèt'nt sur le pavé
Monsieur l' curé dit au vicaire
Sortons observer l' couchant
Sortons ob- papa
Sortons ob- maman
Sortons observer l' couchant
Dans mon pays d'Espagne Olé (bis)
Y'a un soleil comme ça
Et y'a des femmes comme ça
Et y'a la mer comme ça
Y'a les montagnes comme ça
Y'a des taureaux comme ça
Y'a des conchitas comme ça
Des picadors comme ça
La libertad comme ça
Des paëllas comme ça
Derrièr' chez y a z'un p'tit bois
Derrièr' chez y a z'un p'tit bois
Hourra mes boués, hourra!
J'cueillis deux frais', j'en mangis trois
Tra la la la la la la la la !
Avec une fillett' de quinze ans
Hourra mes boués, hourra!
Sa mèr' arrive au même instant
Tra la la la la la la la la !
"Que faites-vous avec mon enfant "
Hourra mes boués, hourra!
"J'suis en train d'lui couper les dents"
Tra la la la la la la la la !
"Il lui en manqu'une sur le devant"
Hourra mes boués, hourra!
"Dans un p'tit trou rose et charmant"
Tra la la la la la la la la !
"Je la lui pose bellement""
Hourra mes boués, hourra!
"C'est mon gros vit raide bandant""
Tra la la la la la la la la !
Son pucelage qui était dedans"
Hourra mes boués, hourra!
Je l'ai déhalé dessous ma dent"
Tra la la la la la la la la !
"A la maneuvre, elle jouit tant"
Hourra mes boués, hourra!
"Qu'elle veut se replanter ma dent"
Tra la la la la la la la la !
"Cest à mon tour" dit la maman
Hourra mes boués, hourra!
"Il m'en manque une également"
Tra la la la la la la la la !
"Pose la moi marin galant"
Hourra mes boués, hourra!
"J'en ai besoin depuis longtemps"
Tra la la la la la la la la !
"Mon homm' n'peut tirer qu'deux coups d'rang"
Hourra mes boués, hourra!
"L'un en hiver, l'autre au printemps!!!"
Tra la la la la la la la la !
"J'pose des dents qu'aux fill's de quinze ans"
Hourra mes boués, hourra!
"Qu'ont des p'tits trous ros' et charmants"
Tra la la la la la la la la !
"Le tien est pour le commandant"
Hourra mes boués, hourra!
"Qui n'a plus jamais sa gross' dent"
Tra la la la la la la la la !
"A vieille bouche, plus de dent!"
Hourra mes boués, hourra!
Pour les vieux cons, plus d'vit dedans!"
Tra la la la la la la la la !
La digue du cul, en revenant de Nantes (Bis)
De Nantes à Montagu, la digue, la digue,
De Nantes à Montagu, la digue du cul.
Lève la jambe
Voilà qu' ça entre
Lève la cuisse, cuisse, cuisse,
Voilà qu' ça glisse
Oh! Hisse!
La digue du cul, je rencontre un belle (Bis)
Qui dormait le cul nu, la digue, la digue,
Qui dormait le cul nu, la digue du cul.
La digue du cul, je bande mon arbalète (Bis)
Et la lui fous dans l’cul, la digue, la digue,
Et la lui fous dans l’cul, la digue du cul.
La digue du cul, la belle se reveille (Bis)
Et crie j’ai l’diable au cul, la digue, la digue,
Et crie j’ai l’diable au cul, la digue du cul.
La digue du cul, non ce n’est pas le diable (Bis)
Mais mon gros dard poilu, la digue, la digue,
Mais mon gros dard poilu, la digue du cul.
La digue du cul, si ve n’est pas le diable (Bis)
Refous le moi dans l’cul, la digue, la digue,
Refous le moi dans l’cul, la digue du cul.
La Dispute du Cul et du Con
Air: A la façon de Barbari
Chacun de vous sait qu'autrefois
Au Japon comme en France
Le trou du cul avec le con
Vivait d'intelligence
Voulez-vous savoir la raison
La faridondain', la faridondon,
Qui les a rendus ennemis, biribi
A la façon de Barbari, mon ami
Le trou du cul plein de fierté,,
Disait dans son langage:
"Foutras-tu toujours sous mon nez
Et dans mon voisinage
Comme toi ne suis-je pas bon
A recevoir aussi le vit, biribi ..."
En entendant ceci, du con
Grande fut la colère
Et il en supprima, dit-on
Les règles ordinaires
"Tais-toi, dit-il, foutu cochon
Tu n'es bon qu'à salir le vit, biribi ..."
"C'est bien à toi, reprit le cul,,
De parler d'immondices,
Du moins, on ne m'a jamais vu
Foutre la chaude-pisse
Toujours couvert de morpions
T'as souvent la vérole aussi, biribi ...
A ce moment, survint un vit
De superbe encolure
Il était, ma foi, fort bien mis
Et de belle tournure:
"Paix, leur dit-il, taisez-vous donc
Vous faites beaucoup trop de bruit, biribi ..."
Tout d'abord, il entra au con
Qu'il trouva un peu large,
Puis dans l' trou du cul sans façon
Par trois fois, il décharge,
"Hé, hé, dit-il, taisez-vous donc
Plus c'est étroit, plus on jouit, biribi ..."
A cet arrêt, si bien pourtant,,
Le con bava de rage,
Et le trou du cul triomphant,
Fit un sacré tapage,
Par trois fois, il pèt' sur le con
Lui disant: "Ton règne est fini, biribi ..."
Le bougre avait ma foi raison,,
Je le dis sans mystère
Pour foutre il n'est qu'un trou de bon
C'est le trou de derrière
Souple, nerveux et très profond
Dieu pour le vit exprès le fit, biribi ...
Le duc de Bordeaux ressemble à son frère,
Son frère à son père et son père à mon cul;
De là je conclus qu' le duc de Bordeaux
Ressemble à mon cul comme deux gouttes d'eau.
Taïaut Taïaut Taïaut!
Ferm' ta gueule, répondit l'écho.
Le duc de Chevreuse ayant déclaré
Que tous les cocus devraient être noyés,
Madam' de Chevreuse lui a demandé
S'il était certain de savoir bien nager.
Madam' la duchesse de la Trémouille,
Malgré sa pudeur et sa grande piété,
A patiné plus de paires de couilles
Que la Grande Armée n'a usé de souliers.
Le roy Dagobert a un' pine en fer,
Le bon Saint-Eloi lui dit: "Eh bien! mon roi,
Si vous m'enculez, vous m'écorcherez"
"C'est vrai, dit le roi, j'en f'rai faire un' de bois".
J'emmerde le roy et le comt' d'Artois,
Le duc de Berry et la duchesse aussi;
Le duc de Nemours, j' l'emmerde à son tour
Le duc d'Orléans, je l'emmerde en mêm' temps!
Chasseur as-tu vu le trou de mon cul
Si tu veux le voir, tu reviendras ce soir;
Moi, j'ai vu le tien, je n'en ai rien dit,
Si tu vois le mien, tu n'en diras rien.
La p'tite Amélie m'avait bien promis
Trois poils de son cul pour en faire un tapis;
Les poils sont tombés, l' tapis est foutu,
La p'tite Amélie n'a plus d' poil à son cul.
La bite à papa qu'on croyait perdue,
C'était la p'tit' bonn' qui l'avait dans les fesses;
La bite à papa n'était pas perdue,
C'était la p'tit' bonn' qui l'avait dans le cul.
L'Enterrement du Roi des Maquereaux
Mes amis, si je meurs en ces jours de détresse
Et dans ces lieux où j'ai gaspillé ma jeunesse,
Mes amis si je meurs, veillez que l'on m'enterre
Dans cette froide terre où j'ai d'jà tant baisé.
Le foutre d'un vieux con servira d'eau bénite,
Les couilles d'un vieux moin' serviront de lanterne,
Pour être religieux, deux queues feront un' croix
Et les putains d' Bruxell's suivront tout's le convoi.
Ma bièr' sera portée par quatre-vingts pucelles
Et les draps mortuair's par autant de maqu'relles;
Six cents chameaux à poil's entonneront bien haut
C'est le roi des maqu'reaux que l'on porte au tombeau
Je veux qu'après ma mort. ma carcass' soit portée
Chez un apothicair' pour êtr' désinfectée,
Et comme après ma mort. je ne baiserai plus,
Que mes os serv'nt encore à exciter les culs
Je veux que sur ma tombe on grav' cette épitaphe:
"Ci-gît un vieux baiseur; on en connut les traces"
Et qu' sur les quatre coins. on grave en lettres d'or:
Que s'il n'était pas mort, il baiserait
L'étudiante
C'était une étudiante exquise
Elle avait des yeux si brûlants,
Qu'ils euss'nt fait fondre une banquise,
Oh! aïe ma mère! Oh! aïe papa!
Comme elle était fort catholique,
Elle parfumait ses seins d'encens
Et ses hanch's étaient angéliques, ...
Tous les étudiants de la ville,
En étaient tombés amoureux
Mais elle était très difficile, ...
Il fallait pour cette sirène,
Un gibier bien plus savoureux,
Que les pauvres porteurs de pennes, ...
Cette étudiante si farouche,
A ses professeurs se donna,
Car elle était très fine bouche ...
Et les vieux prof's les plus austères,
Après vingt ans d' professorat
Connur'nt les plaisirs de la chair(e) ...
7. Dans les bras de cette déesse,
Ils fir'nt un effort émouvant
Pour donner cours à leur tendresse ...
À son examen de physique,
Son succès fut étourdissant
Surtout dans les travaux pratiques ...
C'est simplement pour cette cause,
Qu'elle eut la grande distinction
Mais elle eut encore autre chose ...
On dit que la science est amère,
Et l'on a mille fois raison,
Mais cett' fois la science était père ...
Pour payer leur béatitude,
Les professeurs fur'nt obligés
D'él'ver le fruit de leurs études ...
Mais dans sa loge le concierge,
Rigolait d'avoir le premier
Donné des cours à cette vierge ...
L'enfant à l'ombre de la loge,
R'ssemblait au concierge son papa
Car il était digne d'éloge, ...
La moralité de l'histoire
C'est que les fill's n'en ont pas
Et que tous les profs sont des poires ...
Les femm's des étudiants
Sont chaud's comm' de la braise
Quand ell's n'ont pas d'amants,
Ell's prenn'nt des bâtons d' chaise
Ohé! Ohé! Vivent les étudiants de France,
Ohé! Ohé! Vivent les étudiants français.
Nous irons au bordel,
Nos pèr's y allaient bien
Enculer les maqu'relles
Et baiser les putains.
Nous irons à l'église
Nos pèr's y allaient bien
Enculer la prêtrise
Et branler l' sacristain.
Quand nous irons en Chine,
Les femm's des mandarins
Nous suceront la pine
Au son des tambourins.
Si ta femme est gentille,
Bourgeois, faut la prêter,
Sinon gare à ta fille,
Elle se fera violer.
Si le bourgeois rouspète,
Il se fera cirer,
Cirer les deux roupettes
Jusqu'au jug'ment dernier.
Amis, il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon
Buvons à l'aimable fanchon
Chantons pour elle quelque chose.
Mais ah, c'que son entretien est doux
Qu'elle a de mérite et de gloire!
Elle aime à rire, elle aime à boire,
Elle aime à chanter comme nous. (ter)
Fanchon, quoique bonne chrétienne
Fut baptisée avec du vin
Un bourguignon fut son parrain
Une bretonne sa marraine.
Fanchon préfère la grillade
A d'autres mets plus délicats
Son teint prend un nouvel éclat
Quand on lui verse une rasade.
Un jour le copain la grenade
Lui mit la main dans son corset
Elle répondit par un souffle
Sur le museau du camarade.
Si quelque fois elle est cruelle
C'est quand on lui parle d'amour
Mais moi je ne lui fais l'amour
Que pour m'enivrer auprès d'elle.
Ah! c'est la femme
C'est la femme du roulier
Qui va de porte en porte
Et de taverne en taverne
Pour chercher son mari
Tireli
Avec une lanterne.
Madame l'hôtesse
Mon mari est-il là
Oui madame il est là
Il est dans la soupente
En train de tirer un coup
Tirelou
Avec une servante.
Ah! chien d'ivrogne,
Retourne à ton logis
T'es las que tu t'emplis
T'es là que tu ripailles
Pendant que tes enfants
Tirelan
Sont couchés sur la paille.
Et toi la belle
Aux yeux de merlan frit
Tu m'as pris mon mari
Je vais te prendre mesure
D'une bonne culotte de peau
Tirelo
Qui ne craint pas l'usure.
Tais-toi ma femme
Ferme ta gueule, tu m'fais suer
Dans la bonne société
Est-ce ainsi qu'on s'comporte
J'te fous mon pied au cul
Tirelu
Si tu n'prends pas la porte.
La pauvre femme
S'en retourne au logis
Et dit à ses enfants
Vous n'avez plus de père
Je l'ai trouvé couché
Tirelé
Avec une autre mère.
Il a raison
S'écrièrent les enfants
Il a raison de baiser
Avec celle qui l'aime
Et quand nous serons grands
Tirelan
Nous ferons tous de même.
Charogne d'enfants
Sacré cochons d'enfants
Lorsque vous serez grands
Croyez-en votre mère
Vous serez tous cocus
Tirelu
Comme Monsieur votre Père
La femme qui pète au lit
Eprouve quatre jouissances
Elle bassine son lit
Elle soulage son ventre
Elle entend son cul qui chan-te
Dans le silence de la nuit,
Elle entend son cul qui chan-te
Et elle emmerde son mari.
Jusqu'au plus petit coin de Navarre
De la soule et même du labour
On parle de Mauléon Licharre
Avec entrain et beaucoup d'amour
De Mauléon, de ses superbes fêtes
Si vivantes et si pleines d'entrain
De ses allées de saules coquettes
De son beau folklore souletin
Farandole, qui s'envole
Fadango feux de la St Jean
Jolies filles, qui pétillent
Dans les bras de leurs chers gallants
Cavalcades,sérénades
Iritzéna et de chansons
Nuit d'ivresse, allégresse
Tout ça c'est la fête de Mauléon
Nuit d'ivresse, allégresse
Tout ça c'est la fête de Mauléon.
Allez donc un peu voir le programme
Vous me direz s'il est vraiment beau
Vous y trouverez messieurs, mesdames
Eternelles courses de chevaux
De splendides parties de pelotes
Et le choix de danseurs souletins
Fandango quand tu veux tu gavottes
Tout ça dans l'ambiance des bons copains
La nuit c'est la cohue générale
Du vieux port au fin fond du cachot
Faut voir un peu comment se trimbalent
Nos maritxus et leur ramuntxos
Les fougeux bergers de nos montagnes
Et la jeunesse des environs
Ont ce soir déserté la campagne
Pour gouter aux fêtes de Mauléon
Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit,
Elles préfér'nt tenir mon vit
Qu'un cierge (ter)
"O, fille de Camaret, où est ton pucelage " (bis)
"Il s'en est allé sur l'eau
Dans les bras d'un matelot,
Il nage" (ter)
Le maire de Camaret vient d'acheter un âne (bis)
Un âne républicain,
Pour enculer les putains
D' Bretagne! (ter)
"Mon mari que fais-tu là Tu me perces la cuisse (bis)
Faut-il donc que tu sois saoul,
Pour ne pas trouver le trou
Qui pisse" (ter)
Mon mari s'en est allé à la pêche en Espagne (bis)
Il m'a laissée sans le sou
Mais avec mon petit trou
J'en gagne (ter)
Sur la plac' de Camaret, un' statue d'Hercule (bis)
Monsieur l' maire et m'sieur l'curé
Qui sont tous les deux pédés
L'enculent (ter)
Une simpl' supposition que tu serais ma tante (bis)
Je te ferais le présent
De l'andouille qui me pend
Z'au ventre (ter)
Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage du cul nous prend
Tout bouge (ter)
Le curé de Camaret a les couilles qui pendent (bis)
Et quand il s'assoit dessus
Ell's lui rentrent dans le cul
Il bande (ter)
Amélie si tu m'aimais, tu me ferais des nouilles (bis)
Et pendant qu'elles cuiraient
Tu me les chatouillerais
Les couilles " (ter)
Si les fill's de Camaret, s'en vont à la prière (bis)
C'n'est pas pour prier l' Seigneur
C'est pour branler le prieur
Qui bande (ter)
La servante à M'sieur l' curé, a le ventr' qui gargouille (bis)
C'est qu'elle en a trop mangé
De l'andouille à M'sieur l' curé
D' l'andouille (ter)
Au couvent de Camaret il n'y a que d' vieill's nonnettes (bis)
Réservées à l'aumônier
Qui aime à les confesser
ll baise (ter)
Quand vous irez communier
et qu' vous mordrez l'hostie (bis)
Prenez garde à Jésus-Christ
Mordez pas dans son zizi
Prudence (ter).
Au bord de la Moselle.
Y avait un batelier;
Sa fille était pucelle.
Et chacun le savait
Tous les gars du village
Entre eux se demandaient:
Qui aura le puc'lage
De la fill. de Gonthier,
De la fill' de Gonthier.
Tirelé
Qu'a toujours son puc'lage
De la fill' de Gonthier
Tirelé
Qui n' veut pas le donner.
Elle fit la rencontre
D'un galant de chez nous
Qui lui offrit sa montre
Et la prit sur les g'noux;
Un oiseau dans les vignes,
Eperdument chantait;
Ell' n'eut qu'à faire un signe
Et l'oiseau s'envolait;
Et la fill' de Gonthier
Tirelé
Perdit son pucelage
Et la fill' de Gonthier
Tirelé
N'eut plus rien à donner.
Malgré bien des promesses
L'amant ne revint pas
Pour cacher sa grossesse
La pauvrett' se noya.
Aux jeun's fill's plein's de crainte,
L'hiver, à la veillée,
On chante la complainte
De la fill' de Gonthier
De la fill' de Gonthier
Tirelé
Qu'a perdu son puc'lage
Et qui s'est suicidée
Tirelé
De n' pouvoir le r'trouver
La fille du bédouin
se branlait dans un coin
avec une banane
Et... moi dans l'autre coin
voyant son vagin
je bandais comme un âne
Sont les fill's de La Rochelle
Qu' ont armé un bâtiment
Ell's ont la cuisse légère
Et la fesse à l'avenant
Ah' la feuille s'envole, s'envole
Ah! la feuille s'envole au vent
Sont parties aux Amériques
Un matin, la voile au vent;
Ont choisi pour capitaine
Une fille de quinze ans.
Nous n'avons pas besoin d'hommes,
Disaient-elles à tout venant;
Mais au bout de six semaines
Ell's avaient le cul brûlant.
Un beau soir, une frégate
Apparut sur l'Océan,
Pleine de jolis pirates,
De beaux gars appétissants
Elles allèr'nt à l'abordage
A coups d' sabre et à coups d' dents
Ell's y prirent l'avantage
Et se ram'nèr'nt des galants.
Et sous la lune jolie,
Etendues sans vêtements,
Ell's ont écarté les cuisses
Tout's sur le gaillard d'avant.
Ont baisé à perdre haleine
Jusqu'au clair soleil levant
Et c'était la capitaine
Qui menait le mouvement.
Le lend'main le beau navire
Repartit vers le couchant
Et les fill's de La Rochelle
Le cul frais allaient chantant:
"J'ai perdu mon pucelage
Au milieu de l'Océan
ll est parti vent arrière
Reviendra z'en louvoyant
Il était beau il s'app'lait Jules
Et il n'avait jamais fauté,
Quand un beau soir au crépuscule
Par le désir, il fut hanté
Juste à c'moment, une brunette
Qui descendait de l'autobus
Lui dit: "Viens-tu dans ma chambrette
J'habit' là au Quartier Picpus"
Refrain
Amour, amour, tu fais fair' des folies
Amour amour, tu nous fais bien du mal
Il soupira: "Si je faute, ma mie,
M'épous'ras-tu " "Oui, dit-ell' c'est fatal"
Mais quand il s'fut donné bêt'ment
Ell' lui dit: "Maintenant, fous l'camp"
Ell' le chassa de sa maison
Sans mêm' lui rendr' son pantalon
C'est alors qu'il comprit
Sa honte et sa misère,
Un malaise le prit
Jules allait être père.
Afin d' dissimuler sa faute
Il prit d'affreuses précautions,
Il se serra les entrecôtes
Et fit élargir ses cal'çons.
Mais un jour il perdit sa place,
Le patron l'ayant fait app'ler
Lui dit: "T'as fauté, je te chasse
Faut pas d'fils père à l'atelier"
Parlé: Mon Dieu!
Pour oublier, il sombra dans l'orgie,
Il but du cidre et de l'Urodonal
Alors à Montmartre là-haut
On l'vit rouler dans le ruisseau
Tandis que d'joyeux noctambul's
Venaient tirer l'oreille à Jules
Et de son pauvre corps
Les filles abusèrent
On n'est pas respecté
Quand on est un fils père.
Un soir, dans un' louche officine,
Il entra décidé à tout
Il vit une femme, un' gourgandine
Qui s'appelait "la mèr' Guette au trou"
Pour fair' disparaître les traces
De la faute du pauvre gueux
Ell, lui charcuta la carcasse
En se servant d'un' pelle à feu.
Parlé: Oh quelle horreur!
Le pauvre gars faillit perdre la vie
Il vient hier de sortir de l'hôpital
Et maintenant pâle et flétri,
Le ventre et les seins pleins de plis,
Sur l'Sébasto on peut le voir
Jules est dev'nu fils du trottoir
Moralité:
Mariez-vous, jeunes gens
Avant d'vous laisser faire
Ne faites pas comm' Jul's
Le malheureux fils père
En revenant d' Montmartre,
De Montmartre à Paris,
J'ai rencontré trois filles,
Trois fill's de mon pays.
Ah! les frais's et les framboises
Et l' bon vin qu' nous avons bu,
Et les belles villageoises
Que nous n' reverrons plus.
J'ai rencontré trois filles,
Trois fill's de mon pays,
J'embrassai la plus jeune
Et la plus belle aussi.
L'emm'nai dans ma chambrette
Pour parler du pays
Comme il n'y avait pas d' chaise
Elle s'assit sur le lit.
Ell' me dit: soyez sage
Et près de moi s'assit.
J'entrouvris sa ch'misette
Et vis un joli nid.
Puis je lui dis: "Regarde
Mon joli canari"
Ell' caressa l'oisille
Et voilà qu'il grandit.
Et puis, battant des ailes,
Il entra dans le nid.
Il y entra si fort
Que le cou s'y rompit.
Pleurez, pleurez, mesdames
La mort du canari.
Ne pleurez plus, mesdames
La mort du canari.
Car la fillette, adroite,
Le rendit à la vie.
Frère Domino,
Quand tu rencontres une fillette,
que fais tu Aaaaaaameeeeeeen !
Je la monte dans ma chambrette,
Domino-mino, Domino-minette,
Je la monte dans ma chambrette,
Do-Mi-No.
Quand tu la monte dans ta chambrette,
Quand tu l’allonges sur la carpette,
Quand tu descends ta braguette,
Quand tu lui enlèves sa chemisette,
Quand tu lui enlèves sa jupette,
Quand tu t’fais faire une p’tite branlette,
Quand tu la bourres jusqu’aux côtelettes,
Quand tu envoies trois p’tites giclettes,
Quand tu t’laves dans la cuvette,
Quand tu lui dis d’faire sa toilette,
Quand tu lui r’mets une p’tite giclette,
Quand tu la reprends en levrette,
Je lui fais boire l’eau d’la cuvette !
J'avais quinze ans et la passion des armes,
Un beau fusil tout neuf et tout luisant
J'aurais voulu connaître les alarmes
Et les combats de tout soldat vaillant
Mon père était de la garde civique,
Pour son adresse, on l'admirait beaucoup:
Ah! mes amis, Ah! quel plaisir unique(bis)
Quand je voyais papa tirer son coup. (bis)
Un beau matin, je lui dis: "Petit père,
J'ai mes quinze ans et j' voudrais essayer
Le beau fusil que seul avec ma mère
Tu mis neuf mois à pouvoir m' fabriquer"
Il m' répondit d'une voix marti-ale;
"Ta noble ardeur me réjou-it beaucoup
Tiens, mon enfant, voilà toujours cinq balles(bis),
Va-t-en mon fils, va-t-en tirer ton coup!" (bis)
En ce temps-là, vint un tir à la mode
Qui s'établit, je crois, rue du Persil,
Vit' je courus vers cet endroit commode
Pour essayer mon excellent fusil
Les cibl's étaient toutes blanches et roses,
Mon beau fusil se leva tout à coup,
Ah! mes amis, que c'est bon l' premier coup(bis)
Je déchargeai et je fis une rose. (bis)
En peu de temps, ma renommée fut grande
De nobles dam's se disputaient l'honneur
De chatouiller avec leurs mains fringantes
Le beau fusil d'un si parfait chasseur;
Toutes les nuits, j'étais à l'exercice,
Ma cartouchièr' n'était jamais à bout
Mais maintenant, j'use d'un artifice(bis)
Je ne peux plus par nuit tirer qu'un coup. (bis)
Et maintenant l' beau fusil, qui naguère
A d' si hauts faits si souvent abusé,
Repose en paix au musée de la guerre
Où il surmont' deux vieux boulets usés
Il a connu tant de chaudes alarmes
Et tant de combats livrés coup sur coup
Quand, par hasard, il laiss' couler un' larme(bis),
C'est par regret de n' plus tirer son coup(bis).
Il était un gendarm', gendarme de Redon (bis)
Qui n'avait pas l'audac' de p'loter les nichons
Et ron et ron ma lurette
Et ron et ron mon luron
Qui n'avait pas l'audac' de p'loter les nichons (bis)
Un' bell' lui dit: "Jean Foutr' commenc' par les talons
Et tu remonteras de la cuisse au cuisson
Mais la garc' qu'était chaud' mit d'la poix à son con
Et quand il la baisa, il s'colla les roustons
Si tu veux les ravoir, faudra payer rançon
Cent écus pour ta pin', autant pour chaqu' rouston
Et si tu n' les paies pas, nous te les couperons
Ils serviront d'enseigne à la port' d'un boxon
Et les passants diront: "Voilà les couill's d'un con"
Chez nous la coiffure
Fait bonne figure
Moi je porte des chapeaux m' lons
Ma femme des chapeaux ronds
L' curé des calottes ( bis )
Mais le grand vicaire
Toujours par derrière
N' a jamais décalotté
C' est ce qui l' emmerde ( bis )
Chez nous la méd'cine
Fait fort bonne mine
Moi je fais d' la chirurgie
Ma femme fait de la charpie
Et l' curé des bandes ( bis )
Mais le grand vicaire
Toujours par derrière
N' a jamais pu débander
C' est ce qui l' emmerde ( bis )
Chez nous la musique
Est fort en pratique
Moi je joue d' l' accordéon
Ma femme aime le violon
Et l' curé la viole ( bis )
Mais le grand vicaire
Toujours par derrière
N' a jamais pu la violer
C' est ce qui l' emmerde ( bis )
Chez nous la rivière
Est limpide et claire
Moi je la franchis d' un bond
Ma femme passe le pont
Et l' curé la saute ( bis )
Mais le grand vicaire
Toujours par derrière
N' a jamais pu la sauter
C' est ce qui l' emmerde ( bis )
Chez nous la charrette
D' vant chez nous s' arrête
Moi j' dételle les mulets
Ma femme défait les paquets
Et l' curé décharge ( bis )
Mais le grand vicaire
Toujours par derrière
N' a jamais pu décharger
C' est ce qui l' emmerde ( bis )
Quand j' vais à ma terre
Quand j' vais à ma terre
Moi je travaille à la pelle
Ma femme tire la ficelle
Et l' curé la p' lote ( bis )
Mais le grand vicaire
Toujours par derrière
N' a jamais pu la p' loter
C' est ce qui l' emmerde ( bis )
C'était un hussard de la garde
Qui revenait de garnison
De Briançon
Portant sa pine en hallebarde
Agrémentée de deux roustons
Pleins de morpions
Vivre sans souci
Boir' du purin, manger d' la merde
C'est le seul moyen
De ne jamais crever de faim
O merde, merde divine!
Toi seule a des appas
La rose a des épines
Toi, merde, tu n'en as pas
En descendant de la rue Trouss'couille
Il rencontra la garc' Manon
Qui pue du con
Il lui dit: "Ma chaste vadrouille
Le régiment s'en va demain
La pine en main"
En vain Manon se désespère
De voir partir tous ses amis
Avec leurs vits
Ell' va trouver Madam' sa Mère
Lui dit: "Je veux partir aussi
Sacrée chipie"
"Ma fill', ma sacrée garc' de fille,
N'vas pas avec ce hussard-là
Il te perdra!
Ils t'ont fendue jusqu'au nombril(e)
Ils te fendraient jusqu'au menton
La peau du con"
"Ma fill', ma sacrée garc' de fille
Quand s'ra parti ce hussard-là
Tu te branl'ras
Je t'achèt'rai une cheville
Avec laquelle tu t' masturb'ras
A tour de bras"
"Ma mèr', mon vieux chameau de mère
Quand tu parles de me branler
Tu m' fais chier
Un vit, ça sort de l'ordinaire
Ca vous laisse un doux souvenir
Qui fait jou-ir"
La garc' s'est quand mêm' laissée faire
Par le hussard qui la pressait
De se donner
Il lui mit un' si longue affaire
Que ça ressortait par le nez
Ca l'a tuée
Manon, la sacrée garce est morte
Morte comme elle avait vécu
La pine au cul
Le corbillard est à sa porte
Traîné par quatr' morpions en deuil
La larme à l'oeil
Ils l'ont conduite au cimetière
Et sur sa tombe ils ont gravé
Tous ces couplets
Mais le fossoyeur par derrière
L'a déterrée et l'a violée
Ca lui manquait
L'auteur de cette barcarolle
Est un bon hussard à chevrons
Foutu cochon!
Quand il mourut de la vérole
Les asticots qui l'ont bouffé
Ont dégueulé
Il est un coin de France
Où le bonheur fleurit
Où l'on connaît d'avance
Les joies du Paradis
Et quand on a la chance
D'être de ce pays
On est comme en vacances
Durant toute sa vie.
Airetum txikitum airetum aire (ter)
Airetum txikitum aire olé
Le jour de sa naissance
On est pelotari
Dès la plus tendre enfance
Le douanier vous poursuit
Quand vient l'adolescence
Les filles vous sourient
Et l'on chante et l'on danse
Même quand on vieillit.
Et le soir, dans nos montagnes
Nous chantions au coin du feu
Et le vent qui vient d'Espagne
Porte au loin cet air joyeux.
Version Basque :
Haurrak ikasasue
Euskaraz mintzatzen
Ongi pilotan eta
Oneski dantzatzen (bis)
Airetum txikitum airetum aire (ter)
Airetum txikitum aire olé
Gure kantu zahara
Konserba dezagun
Aire pollita gorik
Ez da sortu nehun (bis)
Il était une bérgère ,
Et ron, et ron petit patapon,
D’humeur assez légère,
Qui aimait les garçons, ron, ron,
Bien plus que ses moutons.
Un jour près d’une rivière,
Et ron, et ron, petit patapon,
Voyant son ami Pierre,
Elle quitta son jupon, ron, ron,
Et son petit pantalon.
Le garçon plein de fièvre,
Et ron, et ron, petit patapon,
Se pourléchant les lèvres,
S’approcha l’air fripon, ron, ron,
Pour tâter du chaton.
La bergère peu sage,
Et ron, et ron, petit patapon,
Entr’ouvrit son corsage,
Et disant au garçon,
Embrasse mes tétons.
Puis elle ouvrit ses cuisses,
Et ron, et ron, petit patapon,
Afin que le gars puisse,
Caresser sans façons, ron, ron,
Le duvet du chaton.
Viens vite y mettre la patte
Et ron, et ron, petit patapon,
Sur ma petite chatte,
Caresse la sinon, ron, ron,
Tu aura du bâton, ron, ron.
Il n’y mis pas la patte,
Et ron, et ron, petit patapon,
Il n’y pis pas la patte,
Il y mis le menton, ron, ron,
Il y mis le menton, ron,ron.
Et le long d’la rivière,
Et ron, et ron, petit patapon,
Retentit cette prière ,
Une minette au chaton, ron, ron,
N’arrête pas c’est trop bon, ron, ron.
L'Incendie A Rio
En pleine nuit, une sirène
Appelle au feu tous les pompiers,
Et tout Rio qui se réveille
Voit brûler l'usine de café.
Il n'y a pas de temps à perdre
Sinon tout le quartier va brûler.
Oui, mais voilà, pendant ce temps-là
A la caserne, on entend les pompiers crier:
Où sont passés les tuyaux
Où est passée la grande échelle
Où sont passés les tuyaux
Les tuyaux, ils nous les faut.
Mais l'incendie là-bas fait rage,
Et le ciel est noir de fumée,
Et tous les gens dans les étages
Se disent: "Mais que font les pompiers "
Il n'y a pas de temps à perdre
Sinon tout le quartier va brûler.
Oui, mais voilà, pendant ce temps-là
A la caserne, on entend les pompiers crier:
Où sont passés les tuyaux
Où est passée la grande échelle
Où sont passés les tuyaux
Les tuyaux, ils nous les faut.
Au petit matin, on le devine
Tout le quartier avait brûlé!
Il ne restait plus que des ruines
Sur des centaines de mètres carrés.
Quand tout à coup dans le jour blème,
On vit accourir un pompier
Qui s'écria: "Je viens de la part du capitaine
Vous dire de ne pas vous énerver".
On a retrouvé les tuyaux!
On a retrouvé la grande échelle!
On a retrouvé les tuyaux!
Mais on est en panne d'auto!!
Pendant la nuit, la Bernadette
doucement me fait un pompier
Je lui éjacule dans la tête
Elle a les dents toutes collées (ohé ohé ohé)
Comme il m'en reste dans les roupettes
Je lui dis de recommencer
Oui mais voila, la Bernadette c'est pas tout ça
Il va falloir continuer : ohé ohé ohé !!!
Elle m'a mordu le tuyau, le tuyau, le tuyau
L'a coincé dans la braguette
Elle m'a mordu le tuyau, le tuyau, le tuyau
J'ai gueule comme un salau
Lala, lala, lala !
Version anglaise :
During the night the Bernadette
Slowly made me a fireman
I put my juice into her face
She had her teeth very colled
And I still had full the roupettes
So I wanted to charge again.
Oh yes bu now the bernadette
You have to suck my dick again ohé ohé ohé!!
She bite me the chuppa chup, chuppa chup, chuppa chup
coinced it into my zip
She bite me the chuppa chup, chuppa chup, chuppa chup
I really shout like a bastard
Je viens de voir, c'est un vrai prodige,
Enfoncés les Frères Siamois,
Je viens de voir, j'en ai le vertige,
L'invalide à la pine de bois.
Un homme dont la pine se dévisse,
Et qui se fout des morpions,
De la vérole, de la chaude-pisse,
Ce qui l'emmerde, c'est les bubons
Il faut le voir pour le croire,
Allez y voir, (bis)
Il vous épatera, bourgeois,
L'invalide à la pin' de bois
Il faut vous dire que cet homme étrange
Est muni de plusieurs étuis
Contenant des pin's de rechange
En bois de différents pays.
De sa campagne d'Italie,
Ce brave et vaillant guerrier
A rapporté la plus jolie,
Sa pine en bois de laurier
Quand il a celle en bois de chêne,
De dix coups il porte le fardeau.
Quand il a celle en bois d'ébène,
Il baise comme un moricaud
Il encule comme un Kabyle,
Quand il a celle en palmier
Et il baise comme un imbécile
Quand il a celle en olivier
Quand il a celle en bois de charme,
Aucune femme ne peut lui résister
On le voit bander comme un carme,
Quand il a celle en poivrier
Mais voilà son plus grand vice;
Dès qu'il voit une femme tousser,
Il met sa pine en bois de réglisse
Qu'il va vite lui faire sucer
Il lui arrive de temps en temps,
Quand il rencontre une étrangère,
De sortir son étui d'argent
Et sa pine de millionnaire
C'est une pine en bois de rose
Sertie d'or et de diamants
Qu'il a ramenée de Formose,
Pour les femmes de président
Avec son étui fidèle,
Il peut toujours se contenter;
Veut-il enfoncer une pucelle,
Il met sa pine en oranger
Et parfois, s'il est malade,
Il peut lui-même se soigner,
Car il pisse de la limonade
Avec sa pine en citronnier
J'ai deux Amis
J'ai deux amours,
La Kanterbrau, la Kronembourg
La Kanterbrau pour faire dodo
La Kronembourg pour faire l'amour
J'ai deux ennemis
L'eau de Badoit, l'eau de Vichy
L'eau de Badoit pour faire caca
L'eau de Vichy pour faire pipi
J'ai la quéquette qui colle
J'ai les bonbons qui font des bonds
J'ai la quéquette qui colle
Dansons sur le pont d'Avignon
Viens avec moi dans la clairière
Tu verras de quoi elle a l'air
Et si tu montes jusqu'au grenier
Tu pourras la toucher
Joyeuse contine et farandole
J'ai la quéquette qui colle
J'ai les harpions qui fouettent
Et des morpions plein les roupettes
Des pellicules sur l'crâne
Comme tous les gars de la campagne.
Si tu me suis au presbytère
J'te débal'rai toutes mes affaires
Et si tu veux que j'te montre mon cul
Allons nager au R.U
Faisons la ronde jolie Juliette
Danse avec moi la gigolette
J'ai les harpions qui fouettent
J'ai le claquemert qui r'foule
Et du pelage dans les esgourdes
Des bubons ( ) sur les boules
L'arrière qui fleure la palourde
Allons butiner la fleurette
Tu m'épouilleras de mes bébettes
Et si c'est propre et si c'est net
Je te ferai la brouette.
Chante avec moi la pêche aux moules
J'ai le claquemert qui r'foule
J'ai la quéquette qui colle
J'ai les bonbons qui font des bonds
J'ai la quéquette qui colle
Dansons sur le pont d'Avignon
J'ai Vécu Neuf Mois Dans Un Ventre
J'ai vécu neuf mois dans un ventre
Je voyais le jour par la fente
Je voyais la bite à papa
Qui voulait jouer avec moi.
Il battait si bien la mesure
J'en prenais tout plein la figure
Je croyais sucer mon biberon
Mais c'étais le jus d'ses roustons.
L'infirmière, une sacrée gonzesse
M'attrapa par la peau des fesses
Me trempa dans une bassine
Pour m'ôter l'odeur de pine
C'est Jean-François de Nantes
Oué! oué! oué!
Gabier de la Fringante
Oh! mes boués!
Jean-François!
Débarque en fin d' campagne
Fier comm' un roi d'Espagne
En vrac dedans sa bourse
Il a vingt mois de course
Une montre une chaîne,
Valant une baleine!
Branl'-bas chez son hôtesse,
Bitte et bosse et largesse
La plus belle servante,
L'emmèn' dans sa soupente
Et Jean-François qui bande,
Les couilles frémissantes
Met la fille en carène
Lui plant' un mât d' misaine
Il vid' une bouteille
Et reband' à merveille
Il baise la belle Ursulle
Puis Thérèse il encul'
Son foutre qui déferle
Etouffe les femelles
Son hôtesse se fâche,
Mais il l'envergu' en vache
Montr' et chaîne s'envole,
Il attrape la vérole
A l'hôpital de Nantes,
Jean-François se lamente
Et les draps de sa couche,
Déchire avec sa bouche
Son vît fendu en quatre!
Pleure dans un emplâtre
On lui ouvr', on lui fouille,
La plus bell' de ses couilles
Il ferait de la peine,
Mêm' à son capitaine
Pauvr' Jean-François de Nantes!
Plus jamais ne rebande
Beau-père, mon beau-père,
Je viens me plaindre à vous,
Choeurs : idem
Le beau-père :
De quoi vous plaignez vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
De quoi vous plaignez vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais que faut-il faire,
Quand nous sommes entre nous
Choeurs : idem
Le beau-père :
Que ne la baisez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la baisez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais si je la baise,
Des gosses elle me fout !
Choeurs : idem
Le beau-père :
Que ne la p’lotez vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la p’lotez vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais, si je la p’lote,
Ses seins deviendrons mou !
Choeurs : idem
Le beau-père :
Que ne la branlez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la branlez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais, si je la branle,
On se foutra de nous !
Choeurs : idem
Le beau-père :
Que n’la gougnotez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que n’la gougnotez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre :
Oui, mais, si j’la gougnote,
Ca m’laissera comme un goût !
Choeurs : idem
Le beau-père :
Que ne l’enculez-vous,
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne l’enculez-vous,
Ma fille est toute à vous !
Le gendre :
Oui, mais, si je l’encule,,
Elle chiera partout !
Choeurs : idem
Le beau-père :
C’est vous, qui me faites chier !
Jean-Gilles, mon gendre,
C’est vous, qui me faites chier !
Aux chiott’s, et branlez vous !
Jeanneton
Jeanneton prend sa faucille,
La jeune fille du métro
C'était un' jeun' fill' chaste et bonne
Qui ne r'fusait rien à personne
Un jour dans l' métro y avait presse,
Un jeune homme osa, je l' confesse,
Lui passer la main dans les...ch'veux
Comme elle avait bon coeur
Ell' s'approcha un peu
L' jeune homm' vit l' mouv'ment d' la d'moiselle
Il se rapprocha de plus belle;
Mais comme en chaque homm' tout de suite
S'éveill' le cochon qui l'habite,
Sans tarder il sortit sa...carte,
Lui dit qu'il s'app'lait Jules
Et d'meurait rue Descartes
L' métro continuait son voyage
Ell' dit: " Ce jeune homm' n'est pas sage
Je sens quelque chos' de pointu,
Qui, d'un air ferme et convaincu,
Cherche à pénétrer dans mon...coeur
Ah qu'il est doux d'aimer,
Doux frisson du bonheur! "
Comme elle avait peur pour sa robe,
A cette attaque ell' se dérobe;
Voulant savoir c' qui la chatouille,
Derrièr' son dos ell' tripatouille,
Et tomb' sur un' bell' pair' de...gants,
Que l' jeune homme, à la main,
Tenait négligemment
Ainsi à Paris quand on s'aime,
On peut se le dire sans problème
Peu importe le véhicule,
N'ayons pas peur du ridicule,
Dit's-lui simplement "Je t'en...prie
Viens donc à la maison
Manger des spaghetti
(L'auberge de l'écu)
En notre ville est venu (bis)
Un fameux joueur de luth (bis)
Pour attirer la pratique
Il a mis sur sa boutique:
C'est ici qu' pour un écu
On apprend à jouer de l'épinette,
C'est ici qu' pour un écu
On apprend à jouer du…
Troulala troulala, troula troula, troulalaire
Troulala, troulala, troula, troula troulala
Toutes les fill's de Paris (bis)
De Versaill's à Saint-Denis (bis)
Ont vendu leur chemisette
Leurs jarr'tièr's, leurs collerettes
Afin d'avoir un écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette
Un' jeun' fill' se présenta (bis)
Qui des leçons demanda (bis)
"Ah! que tes leçons sont bonnes
Il faudra qu' tu m'en redonnes;
Tiens voilà mon jeune écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette"
Un' vieill' femme aux cheveux gris (bis)
Voulut en tâter aussi (bis)
Par la porte de derrière
Fais-moi passer la première
Tiens voilà mon vieil écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette"
"Vieille femme allez-vous en (bis)
Et reprenez votre argent (bis)
Car ce n'est plus à votre âge
Qu'on entre en apprentissage
Vous avez trop attendu
Pour apprendre à jouer de l'épinette"
La vieill' femme en s'en allant (bis)
Marmonnait entre ses dents (bis)
"Ah! vous me la baillez belle
De me croire encor pucelle
Voilà cinquante ans et plus
Que je sais jouer de l'épinette"
La morale de ceci (bis)
Je vais vous la dire ici (bis)
C'est quand on est jeune et belle
Qu'il n' faut pas rester pucelle
Faut donner son p'tit écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette
Le jour de l'An approche
C'est le jour le plus beau
Chacun fouill' dans sa poche
Pour fair' un p'tit cadeau
Moi qui n'ai rien au monde
Pas même un p'tit écu
Ma pièce la plus ronde,
C'est le trou de mon cul (bis)
Un jour la p'tit' Huguette
Tripotte moi la bite avec les doigts
Un jour la p'tit' Huguette,
S'en revenait du bois (bis)
En chemin ell' rencontre
Un etudiant en droit ...
Il la prend, il la baise,
Sur du foin qu'était là ...
Le foin était si sec
Qu'il en faisait cra cra ...
La mere d’la p’tite Huguette,
Vint a passer par la…
Baise, baise ma fille,,
on ne meurt pas pour ça ...
Car si j'en étais morte,,
Tu ne serais pas là ...
Ni bien d'autres encore
Que papa n' connaît pas ...
Et si tu en mourrais,
Sur ta tombe, on mettra: ...
Ci-gît la p'tit' Huguette
Qu'est morte en faisant ça ...
En faisant sa prière
Au grand Saint Nicolas ...
Ce grand saint que les hommes
Portent la tête en bas ...
Quand ils la port'nt en l'air
Ils inondent les draps ...
Et quand ils la relèvent
Les femmes ne pens'nt qu'à ça ...
Air: Malbrough s'en va-t-en guerre
La haut sur la montagne,
Les deux pieds les deux mains dans la merde
La haut sur la montagne,
Il y avait un gros cu (bis)
Un gros curé d' campagne ...
Suivi de son long vi (bis)
Suivi d' son long vicaire ...
Qui tenait son gros bou (bis)
Son gros bouquin d' prières ...
Qui était plein de ju (bis)
Plein de justic' divine ...
Pour entrer dans un con (bis)
Dans un confessionnal(e) ...
Pour y tirer un cou (bis)
Un couple de l'Enfer(e) ...
Qui avait mal occu (bis)
Occupé sa jeunesse ...
Et avait trop été (bis)
Trop été à la messe ...
Où il allait quêter (bis)
Quêter l'aumôn' pour pauvres ...
Et pour la Trinité (ter)
Si tu voulais chatouiller mon lézard
Je te ferais mimi,
Je te ferais minette
Si tu voulais chatouiller mon lézard,
Je te ferais minett', ce soir
T'as pas voulu chatouiller mon lézard,
Je n' te f'rai pas mimi,
Je n' te f'rai pas minette,
T'as pas voulu chatouiller mon lézard,
Je n' te f'rai pas minett' ce soir
lf you will do kili-kili to my lezard
I shall do you mimi
I shall do you minette
lf vou will do kili-kili to my lezard
I shall do you minett' tonight
You didn't made guili-guili to my lezard
I shan't do you mimi
l shan't do you minette
You didn't made guili-guili to my lezard
I shan't do you minett' tonight
Malbrough s'en va-t-en Guerre
Malbrough s'en va-t-en guerre
Bite au cul les deux mains dans la merde
Malbrough s'en va-t-en guerre
Ne sait quand baisera
Sa femme qui reste là
Avec son pauvre chat
Je te baiserai à Pâques
Bite au cul les deux mains dans la merde
Je te baiserai à Pâques
Ou à la Trinité
Dit-il d'un air navré
Avant de la quitter
Puis il partit combattre
Bite au cul les deux mains dans la merde
Puis il partit combattre
Laissant dans son château
La belle toute en sanglots
D'avoir le cul si chaud
Comme elle était fidèle
Bite au cul les deux mains dans la merde
Comme elle était fidèle
Elle repoussa du pied
Valets et officiers
Qui voulaient la baiser
Pendant dix-huit semaines
Bite au cul les deux mains dans la merde
Pendant dix-huit semaines
Madame Malbrough la sotte
Se caressa la motte
Avec une carotte
Mais un jour un beau page
Bite au cul les deux mains dans la merde
Mais un jour un beau page
Arriva de l'armée
Afin de l'informer
D'une triste vérité
Pris par les infidèles
Bite au cul les deux mains dans la merde
Pris par les infidèles
Malbrough etait châtré
Lors sa femme atterrée
Se mit à sangloter
Qu'a-t-on fait de la chose
Bite au cul les deux mains dans la merde
Qu'a-t-on fait de la chose
Qui servait à baiser
Et qu'on vient de lui couper
Le page dit: écoutez,
Je l'ai vue porter en terre
Bite au cul les deux mains dans la merde
Je l'ai vue porter en terre
Par quatre-z-officiers
Qui l'avaient déposée
Dans un grand drap doré
A ces mots la châtelaine
Bite au cul les deux mains dans la merde
A ces mots la châtelaine
Se mit à jubiler
Et vive la liberté
Plus de raison de me gêner
Puis elle appela l'armée
Et par trente officiers
Quarante-deux canonniers
Cent trente-cinq chevaliers
Deux cents trente cuirassiers
Trois cents six grenadiers
Six cents vingt non-gradés
Elle se fit enfiler
Maman qu’est ce qu’un Pucelage
Maman, qu’est-ce qu’un pucelage,
La, ay, la, ay, la, ay , la ay la la la la la
Maman qu’est-ce qu’un pucelage,
C’est un oiseau mon enfant (Ter)
Un oiseau qu’on met en cage
Jusqu'à l’âge de seize ans (Ter)
Ma p’tite sœur qui n’en a qu’treize
L’a perdu depuis longtemps (Ter)
Avec un chasseur d’Afrique
Derrière le mur du couvent
Le curé qui l’a vu faire,
A voulu en faire autant (Ter)
Avec sœur Marie-Thérèse
La supérieure du couvent (Ter)
Ne sachant comment y faire
La lui mis entre les dents (Ter)
La supérieure en colère
La lui mordit jusqu’au sang
Oui, oui, je le sens bien, tu m’la mise,
Ce n’est plus ton p’tit doigt qui m’chatouille,
Je sens à travers ta chemise,
La douce chaleur de tes couilles
Ton doigt n’était pas si mouillé,
Ce n’était pas la même cadence
Maintenant c’est bien plus régulier,
et youp la la et youp la la, quelle jouissance...
Là-haut sur la barrière,
Margot, Margot,
Tortillait son p'tit derriere
Bien beau, bien beau
Doucement, je m'approche
Et puis, et puis,
Les deux mains dans les poches
J' lui dis, j' lui dis:
"O femelle divine,
Veux-tu, veux-tu,
Que je te fout' ma pine
Dans l' cul, dans l' cul"
"Monsieur, répondit-elle,
Tout bas, tout bas,
Je suis encor' pucelle,
J' peux pas, j'peux pas."
"Il faudra bien qu' t'y passes,
Un jour, un jour,
Et qu'à ton tour tu fasses
L'amour, l'amour"
"Puis qu'il faut qu' je commence,
J' veux bien, j' veux bien,
A toi la préférence,
Pour rien, pour rien."
Je la crus sur parole,
J'y fus, j'y fus,
Elle avait la vérole
Je l'eus, je l'eus
Et ma pine encor' vierge,
Coula, coula,
Ni plus ni moins qu'un cierge
Voilà, voilà.
Depuis cette aventure,
D'amour, d'amour,
Je me lave au mercure
La nuit, le jour.
Après ce jour néfaste,
Mon dieu, mon dieu,
Je m'suis fait pédéraste
C'est mieux, c'est mieux.
Que ceci vous apprenne,
Mes frèr's, mes frères,
Que la vérol' sans gène,
Prospèr', prospère.
pieds de cochon Marie-Madeleine
pieds de cochon Marie-Madelon
Je rentrai dans une auberge
Pour y boire du vin nouveau ( bis)
Mais quand vint l' moment d' payer
Je n' avais qu' un écu faux (bis)
La patronne prit ma culotte
La servante prit mon manteau (bis)
Ma chemise était si courte
Qu' on voyait mes deux marteaux (bis)
La patronne en prit envie
Et me fit monter en haut (bis)
J' lui filait entre les cuisses
Quatre ou cinq coups de marteau (bis )
Et autant à la servante
Qui avait pris mon manteau (bis)
Le patron qu' était un homme
Je lui mis au bas du dos (bis)
Puis j' me mis à la fenêtre
Et je m' écriai bien haut (bis)
C' est ici qu' on boit, qu' on baise
Et qu' on paie à coups d' marteau (bis)
Avec, avec du poil....
Sous les roses....
Nous sommes les moines de Saint-Bernardin (bis)
Qui nous couchons tard et nous levons matin (bis)
Pour aller à matines, vider quelques flacons
Voilà c' qu'est bon et bon et bon!
Et voilà la vie, voilà la vie, la vie chérie ah! ah!
Et voilà la vie que les moines font.
Pour notre déjeuner du bon chocolat (bis)
Et du bon café que l'on nomme moka (bis)
Et la tarte sucrée et les marrons d' Lyon
Voilà c' qu'est bon, et bon et bon!
Pour notre dîner de bons petits oiseaux (bis)
Que l'on nomme caille bécasse ou perdreau (bis)
Et la fine andouillette et la tranch' de jambon
Voilà c' qu'est bon et bon et bon!
Pour notre coucher dans un lit aux draps blancs (bis)
Une belle nonne de quinze à seize ans (bis)
A la taille bien faite et aux appas bien ronds
Voilà c' qu'est bon et bon et bon!
La nuit tous ensemble mous nous enculons (bis)
Jusqu'au jour ensemble nous buvons buvons (bis)
Après dessous la table nous roulons et dormons
Voilà c' qu'est bon et bon et bon!
Si c'est là la vie que les moines font (bis)
Je me ferai moine avec ma Jeanneton (bis)
Et couché sur l'herbette j' lui chatouill'rai l' bouton
Voilà c' qu'est bon et bon et bon!
Les Morpions
O! muse prête-moi ta lyre,
Afin qu'en vers je puisse dire
Un des combats les plus fameux,
Qui s'est déroulé sous les cieux.
De profundis morpionibus
Tra, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, Ah! (bis)
Un jour de fêt' comm' saint' Thérèse,
A Saint' Gudul' chantait la messe
Elle sentit soudainement
Un énorme chatouillement.
Cent mille poux de forte taille
Sur la motte ont livré bataille
A nombre égal de morpi-ons
Qui defendaient l'entrée du con.
Dans un bouzin de tous les diables,
Le choc fut si épouvantable
Qu' les femm's enceint's en accouchant
Chiaient d' la merde au lieu d'enfants.
La bataille fut gigantesque,
Tous les morpions mourur'nt ou presque
A l'exception des plus trapus
Qui s'accrochèr'nt aux poils du cul.
Le général, nouvel Enée,
Sortant des rangs de son armée,
A son rival, beau chevalier,
Propose un combat singulier.
C'est un général plein d'audace
Descendant de l'antique race
Des morpi-ons que Mars donna
A Vénus quand il la baisa.
Un morpi-on motocycliste,
Prenant la raie du cul pour piste
Dans un virage dérapa
Et dans la merde s'enlisa.
Monté sur une pair' d'échasses
Un vieux morpion que l'on pourchasse,
Sur une motte trébucha
Les yeux au ciel il expira.
Puis au plus fort de la bataille,
Soudain frappé par la mitraille
Le maréchal des morpi-ons
Tomba mort à l'entrée du con.
Un morpion de noble origine,
Qui revenait du bout d' la pine,!
Levant sa lance s'écria:
"Le morpion meurt, mais n' se rend pas!"
Et ils bouchent toute la fente,
Que les morpions morts ensanglantent
Et la vallée du cul au con
Etait jonchée de morpi-ons.
Et pour reprendre l'avantage,
Les morpions luttaient avec rage;
Mais leurs efforts fur'nt superflus,
Les poux gardèrent le dessus.
A cheval sur une roupette,
Tenant à la main sa lorgnette,
Le capitaine des morpions
Examinait les positions.
Soudain, voyant plier son aile,
Il dit à ses troupes fidèles:
"Ah! mes amis! Nous somm's foutus,
Piquons un' charge au fond du cul".
Transpercé malgré sa cuirasse
Faite d'une écaille de crasse,
Le Capitaine Morpi-on
Est tombé mort au bord du con.
En vain la foule désolée,
Pour lui dresser un mausolée
Pendant huit jours chercha son corps
L'abîme ne rend pas les morts!
Un soir, au bord de la ravine,
Ruisselant de foutre et d'urine,
On vit un fantôme tout nu
A cheval sur un poil de cul.
C'était l'ombre du Capitaine
Dont la carcasse de vers pleine
Par défaut d'inhumati-on
Sentait le marolle et l'arpion.
Devant cette ombre qui murmure,
Triste, faute de sépulture,
Tous les morpi-ons font serment
De lui él'ver un monument.
En vain l'on chercha sa dépouille
Sur la pine et sur les deux couilles:
On ne trouva qu'un bout de queue
Qu'un sabre avait coupé en deux.
On l'a recouvert d'une toile
Où de l'honneur brille l'étoile
Comme au convoi d'un général
Ou d'un garde nati-onal.
Son cheval à pied l'accompagne;
Quatre morpi-ons grands d'Espagne
La larme à l'oeil, l'écharpe au bras,
Tiennent les quatre coins du drap.
On lui bâtit un cénotaphe
Où l'on grava cette épitaphe;
"Ci-git un morpi-on de coeur,
Mort vaillamment au champ d'honneur".
Douze des plus jolies morpionnes
Portèr'nt en pleurant des couronnes
De fleurs blanch's et de poils du cul
Qu'avait tant aimé le vaincu.
Restés un peu plus en arrière,
Assis en rond sur leur derrière,
La crotte au cul, la larme à l'oeil,
Tous les morpions étaient en deuil.
Au bord du profond précipice,
On rangea les morpions novices
Ils défilèr'nt en escadrons
En faisant sonner leurs clairons.
Tandis que la foule en détresse,
Tout en pleurant disait la messe,
L'adversaire de l'onguent gris
Monta tout droit au paradis.
Sur une couill' grosse et velue,
On érigea une statue
Au capitaine des morpions,
Mort bravement au fond d'un con.
Et l'on en fit une relique
Que l'on mit dans un' basilique
Pour que les futurs bataillons
Sachent comment meurt un morpion.
Depuis ce jour, on voit dans l'ombre
A la porte d'un caveau sombre,
Quatre morpions de noir vêtus,
Montant la garde au trou du cul.
Depuis ce temps dans la vallée,
On entend des bruits de mêlée,
Les ombres des morpions vaincus
Hant'nt à jamais les poils du cul.
Et parfois par les soirs de brume,
Quand sur la terr' se lèv' la lune,
On voit les âmes des morpions
Voltiger sur les poils du con.
Récitatif:
Libere nos de morpionibus omnibus
Qui condamnant couillones,
Qui devorant et per omnia
Testiculos, testiculorum! Amen!
Air: Il était une bergère
Quand j'étais mousquetaire,
La rage du cul, la rage du con,
La rage du jus de mes noirs roustons
Quand j'étais mousquetaire,
J'allais toujours bandant
Ranplan!
J'allais toujours bandant!
Je m'en fus au bordel(e)
"Peut-on foutre en payant "
"Oui! répond la maqu'relle"
Prenez cett' belle enfant
Je la prends, je la baise
Et j'la fous tout en sang
"Ah! que dira ma mère "
En me voyant en sang
Elle dira "Bougresse
J'en ai fait tout autant!,
Avec un mousquetaire
Du même régiment
Air: Le petit navire
Vous verrez au musée d'Athènes
Un bout d' la pine à Démosthène
Et les roustons, ston, ston,
Du vieux Platon
Dans le coton
Vous y verrez dans un' vitrine
Trois poils du cul de Proserpine
Vous y verrez Junon, Hercule
Photographiés quand ils s'enculent
Vous y verrez le Discobole
La queue rongée par la vérole
Vous y verrez la chaste Diane
Le con bouché par un' banane
Vous y verrez Aristophane
Quand il se polit la membrane
Vous y verrez la belle Hélène
Lorsqu'elle en a la bouche pleine
Vous y verrez l' bel Alcibiade
Qui tir' son coup en cinq saccades
Vous y verrez l' grand Périclès(e)
Les roupett's noyées dans la graisse
Vous y verrez le vieil Homère
En train d'enculer sa bell'-mère
Vous y verrez le père Ulysse
En train d' soigner sa chaude-pisse
Et l'idyllique Théocrite
Dans l' cul d'un bouc poussant sa bite
Vous y verrez c' cochon d' Socrate
La main dans la poch' qui s' la gratte
Vous y verrez une des fesses
De Sapho, la bell' poétesse
Vous y verrez dans une amphore
Un peu de foutre au vieux Nestor(e)
Vous y verrez un pucelage
Momifié dans un sarcophage
Vous y verrez les fill's d'Ulysse
Photographiées pendant qu'ell's pissent
Vous y verrez le doux Sophocle
S'branlant la pine sur son socle
Vous y verrez la mère Egée
Carambolée par le Pirée
Vous y verrez la bell' Vénus(e)
Se foutant l'index dans l'anus
Vous y verrez l' cul d' Di-ogène
Dévérolé à l'hydrogène
En quittant le musée d'Athènes
Nous irons boir' du vin d' Suresnes
Et voir si l' con, con, con,
Le con d' Suzon
Nous chauss' toujours
Toujours comm' un chausson
Comm' un chausson
Les oiseaux
(Air : Saint-Louis Blues)
On m’a donné cent sous
Pour acheter des bretelles
Moi j’ai pris les cent sous
Pour aller au bordel
Chemin faisant
J’ai rencontré Grand-mère
Ou vas-tu mon enfant
Moi je vais au bordel
Donne moi tes cent sous
Et je ferais l’affaire
J’ai donné mes cent sous
Et j’ai baisé Grand-mère
Chemin rentrant,
J’ai rencontré mon père
D’ou viens-tu mon enfant,
Moi, j’ai baisé Grand-mère
Enfant d’salaud,
Il a baisé ma mère !
Fils de putain toi-même
Tu baises toujours la mienne
Trois orfèvres, à la saint-Eloi,
Sont allés dîner chez un autre orfèvre,
Trois orfèvres, à la saint-Eloi,
Sont allés dîner chez un autre roi !
Il ont baisé toute la famille,
La mère aux nichons, le père au cul, la fille au con.
Relevez la belle, votre blanc jupon,
Qu’on vous voit le cul, qu’on vous voit les fesses,
Relevez la belle, votre blanc jupon,
Qu’on vous voit le cul, qu’on vous voit le con !
La servante, qui avait tout vu,
Leur dit : « foutez moi votre pine aux fesses,
La servante, qui avait tout vu,
Leur dit : « foutez moi votre pine au cul !
Ils l’ont tous trois baisé sur une chaise,
La chaise a cassé, ils sont tombés, sans débander !
Les Orfèvres, non content de ça,
Montèrent sur le toi, pour baiser minette,
Les Orfèvres, non content de ça,
Montèrent sur le toi, pour baiser le chat.
« Chat, maudit chat, chat tu m’égratignes,
Fais donc attention tu m’égratignes les roustons !
Les orfèvres, chez un pâtissier,
S’en allèrent manger quelques friandises,
Les orfèvres, chez un pâtissier,
Enculèrent l’mitron qu’était en train d’chier !
Puis voyant leurs pines pleines de merde,
Ils les ont sucées comme des éclairs au chocolat.
Y'a qu'la peau des couilles
Air: Il était un petit navire
Il était un petit navire (bis)
Qui rev'nait d' la, d' la d' la Californie (bis)
Ohé! Ohé!
Comme il n'y avait pas de femme,
Afin d'occu, cu, cuper les mat'lots
Ohé! Ohé!
Ils installèrent une barrique
Qui était per, per, percé-e d'un trou
Ohé! Ohé!
Et pendant tout' la traversée
Les mat'lots s'ex, s'ex, s'excitèr'nt dessus
Ohé! Ohé!
On le vendit à l'arrivée
Pour en confec, fectionner des bougies
Ohé! Ohé!
Pour un de nos couvents de nonnes
Je n' sais pas ce, ce, ce qu'ell's firent avec
Ohé! Ohé!
Neuf mois après, ell's étaient mère
D'un gentil, til, til, til petit mat'lot
Ohé! Ohé!
Depuis ce temps là chez les nonnes
On met des ca, ca, capot's aux bougies
Ohé! Ohé!
Père Dupanlou dans l’utérus
Etait déjà si plein d’astuce
Que dans le ventre de sa mère,
Il suçait la pine de son père
Zut, merde, pine et boxon,
Père Dupanlou est un cochon.
Père Dupanlou dans son berceau,
Bandait déjà comme un taureau
Enfant d’salaud, lui dit se mère,
T’en as déjà plus que ton père !
Père Dupanlou monte en un ballon
Mais il avit l’systeme si long
Qu’à trois cent mètres dans l’atmosphère,
La peau de ses couilles trainait par terre !
Père Dupanlou monte en bateau
La pine en l’air, les couilles dans l’eau
Les p’tits poissons, les grosses grenouilles,
Lui tripotaient la peau des couilles.
Père Dupanlou monte a vélo
Mais il avait l’systeme si gros,
Qu’en pédalant à perdre haleine,
La peau d’ses couilles s’prit dans la chaîne.
Père Dupanlou sur sa moto
Faisait du cent et du zéro
Dans un putain de dérapage,
il s’prit les couilles dans l’embrayage.
Père Dupanlou en chemin d’fer,
Voulu mettre ses couilles à l’air.
Passant sa pine parla portière,
Il éborgna le garde barrière
A la bataille d’la Magdala
Dupanlou était encore là.
On le cherchait devant, derrière,
Il enculait les dromadaires.
A la bataille d’la Moskowa
C’est encore lui qui nous sauva.
Il n’eut qu’à montrer sa biroute,
Pour mettre les russes en déroute.
Au passage d’la Bérésina,
Père Dupanlou se distingua.
Posant sa pine sur la rivière,
Il fit passer l’armée entière.
Père Dupanlou dans sa cuisine,
Battait les oeufs avec sa pine.
Salaud lui dit la cuisinière,
Tu f’rais mieux d’me l’foutre au derrière !
Pèrte Dupanlou à l’Opéra,
Se conduisit comme un goujat.
Avec la peau de ses roupettes,
Il boucha l’trou des clarinettes.
Père Dupanlou quand il fut vieux,
Ne bandait plus qu’un jour sur deux.
Il se coupa les couilles de rage,
pour s’en faire un sac de voyage
Père Dupanlou dans son cercueil
Bandait encore comme un chevreuil.
Avec sa pine en arc de cercle,
Il essayait d’soulever l’couvercle.
Père Dupanlou au paradis,
Voulu baiser vierge Marie.
Salaud, lui dit l’Eternel ,
Tu prends le ciel, pour un bordel !
Père Dupanlou fut tout deçu
De n’pouvoir enculer Jésus.
Branlant sa pine de part et d’autre,
Il aspergeait les douze apôtres !
Il était un petit homme
Qui s'app'lait le pèr' Simon
Il alla sur la montagne
Ton ton tai -aine,
Pour entendr' tirer l' canon
Ton ton taine et ton ton ton
Il alla sur la montagne
Pour entendr' tirer l' canon
Il serra si fort les fesses
Ton ton tai -aine
Qu'il chia dans son pantalon
Ton ton taine et ton ton ton
Tout' les dames de la ville
Lui apportèr'nt des torchons
Ell's lui essuyèr'nt les fesses
La raie du cul tout au long
Je vous remercie, Mesdames,
De votre bonne intention.
Quand vous irez par la ville
N'oubliez pas ma maison
Nous y tremperons la soupe
A la merde et à l'oignon
Et celles que ça dégoûte
Auront la merd' sans l'oignon
Je fais l' trottoir rue de la Lune,
Je taille un' plum' pour un écu, pour un écu,
Dans c' métier-là, pour fair' fortune,
Il faut savoir jouer du cul
Avec des marlous d' bas étage,
Je fais un' noce à tout casser,
Et c' qui m'étonn', c'est qu'à mon âge,
Je puisse encor' les fair' bander
Au coin du Faubourg Poissonnière,
Quand un miché me fait de l'oeil,
Il faut me voir pimpante et fière,
Jamais putain n'eut plus d'orgueil
Il m' fout sur l' lit, il m' prend, il m' baise
Et pendant qu'il s'esquinte à jouir
Moi je fais la chasse aux punaises
Afin d' pouvoir la nuit dormir
J'en suis encor' tout esquintée
L'avait-il gros ce vieux paillard!
J'ai bien cru qu' j'étais éclatée
Tandis qu'il m'enfonçait son dard
Il aurait pu m' la foutr' dans l' ventre
J'aurais bien pu ne rien sentir
Mais quand c'est dans l' cul qu' ça vous rentre,
Bordel de Dieu, ça fait souffrir!
Fous la au lit, fous-la par terre,
Fous la là ousque tu voudras,
Soit par devant, soit par derrière,
Jamais la garc' ne jou-ira
Je vous le dis en confidence,
Les homm's, c'est pas ça qu'il nous faut
Ca nous procure trop peu d' jouissance
Pour tout le mal que ça nous vaut
Un vrai vagin, c'est autre chose
On suce, on y fait mille horreurs,
Et on termin' par feuill' de rose,
Que c'est un vrai bouquet de fleurs
Air: La chanson des heures. (X. Privas)
À qui veut casquer, pour un prix modique,
Je promets de faire, et sans nul chiqué
Un travail soigné, tiré du classique
Pour un prix modique, à qui veut casquer.
Pour quatorze sous, la main dans la poche,
Mêm' sous l'oeil du flic qui me r'garde en d'ssous
J'astique le dard du typ' qui m' raccroche
La main dans la poche, pour quatorze sous.
Pour un franc vingt-cinq, dans un' pissotière,
Ou bien pour un franc, plus un marc sur l' zinc,
Quand les temps sont durs, j' glisse un' langu' légère
Dans un' pissotière, pour un franc vingt-cinq.
Pour un larant'quet, c'est la simple passe,
Un quart d'heure au plus, vas-y v'là l'baquet,
Sur le bord du lit, j'étal' ma conasse
C'est la simple passe, pour un larant'quet.
Pour un franc de plus, je me déshabille,
Y a du feu chez moi et je m' lave le cul,
Je m'efforce d'être un peu plus gentille,
Je me déshabill', pour un franc de plus.
A qui dans mon bas glisse un' thune entière,
C'est déjà l' grand jeu, j' compliqu' mes ébats;
J' laisse un peu plus d' temps pour se satisfaire
Pour un' thune entièr' glissée dans mon bas.
Pour sept ou huit francs, prix encor' modeste,
On peut s' faire en plus scalper l' mohican,
Et prendre un billet de r'tour, s'il en reste,
Pour un prix modeste, pour sept ou huit francs.
Pour un demi-louis, sans que j' m'ébouriffe
On peut, y en a tant qu'ont gâché les prix,
S' fair' dans tout' les langu's tutoyer l' Pontife,
Sans que j' m'ébouriffe, pour un demi-louis.
Pour un louis entier, si rare est la chose,
Je suc'rais un homme de la tête aux pieds
Et je lui ferais dix fois feuill' de rose
Si rare est la chose, pour un louis entier.
Ma mère m'a donné la permission de minuit
Pour aller me souler la gueule à la pitxuri (bis)
La pitxuri, la pitxuri
Le rendez-vous de tous les basques du pays (bis)
Le Plaisir des Dieux
Du dieu Vulcain, quand l'épouse friponne
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le noir époux, que l'amour aiguillonne,
Tranquillement se polit le chinois.
Va-t-en, dit-il à sa fichue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux;
De mes cinq doigts, je fais une pucelle,
Masturbons-nous, c'est le plaisir des dieux,
Bas! Laissons-lui ce plaisir ridicule,
Chacun, d'ailleurs, s'amuse à sa façon:
Moi, je préfèr' la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal' trou, la plus vieille fendasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux,
Nous serons fiers de marcher sur ses traces
Baisons, baisons, c'est le plaisir des dieux.
Du dieu Bacchus quand, accablé d'ivresse,
Le vit mollit et sur le con s'endort,
Soixante neuf et le vit se redresse;
Soixante neuf ferait bander un mort,
O clitoris, ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A ta vertu, nous rendons tous hommage:
Gamahuchons, c'est le plaisir des dieux.
Pour Jupiter, façon vraiment divine,
Le con lui pue, il aime le goudron;
D'un moule à merde, il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l'étron,
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux:
Après l' dessert, on s'encule en couronne,
Enculons-nous, c'est le plaisir des dieux. (bis)
Quand à Pluton, le dieu à large panse,
Le moindre effort lui semble fatigant;
Aussi, veut-il, sans craindre la dépense,
Faire sucer son pénis arrogant,
Et nous, rêvant aux extases passées,
Tout languissants, réjouissons nos yeux
En laissant faire une amante empressée,
Laissons sucer, c'est le plaisir des dieux. (bis)
Au reste, amis, qu'on en fasse à sa tête,
Main, con, cul, bouche, au plaisir tout est bon,
Sur quelqu'autel qu'on célèbre la fête,
Toujours là-haut, on est sûr du patron.
Foutre et jou-ir, voilà l'unique affaire,
Foutre et jou-ir: voilà quels sont nos voeux,
Foutons, amis, qu'importe la manière, (bis)
Foutons, foutons, c'est le plaisir des dieux
Ouvrez, ouvrez la porte aux poivreaux
Regardez les dégueuler, c'est beau
Les parents si vous voyez
Vos enfants rentrer bourrer
Ouvrez leur porte vers les cabinet
Marseillaise des Vidangeurs
Entendez-vous, plac' de la République,
Quand les lampions commenc'nt à s'allumer,
Le bruit joyeux de notre mécanique
La pompe à merd' se met à fonctionner.
Refrain (1re partie)
Et puisqu'il faut que rien n' se pe-erde
Dans la nature
Où tout est bon
Amis, pressons la pompe à me-erde,
Le jour se lève à l'horizon.
Ambiance:
Une voix: "Faites avancer la première voiture",
(Avant le deuxième couplet; "Deuxième voiture" etc,)
En coulisse; hennissement du cheval.
La voix: "Vérifiez les manomètres"
En coulisse: sifflement
La voix; "Renversez la vapeur"
En coulisse; autre sifflement, de timbre différent
La voix; "En avant, tout doucement"
Refrain (2e partie)
Pompons la merde et pompons-la gaiement
En envoyant s' fair' foutr' ceux qui n' sont pas des frères
Pompons la merde et pompons la gaiement
En envoyant s' fair' foutr' ceux qui n' sont pas contents.
Soupe à l'oignon, bouillon démocratique,
Perdreaux truffés du faubourg Saint-Germain,
Vous serez tous, c'est une loi physique,
Bouffés un jour, chiés le lendemain.
Fille de roi, de ta beauté si fière,
Tu dois chier, ainsi Dieu l'a voulu.
Ton cul royal, comme un cul prolétaire,
A la natur' doit payer son tribut.
Humble ouvrier, ta modeste cuisine
Te fait du riche envi-er les festins;
Console-toi, les produits qu'il rumine
Ne se vendront pas plus cher que les tiens.
Puissants du jour qui bouchez vos narines,
Quand nous pompons le fruit de vos excès,
Si nous cessions de vider vos latrines,
Que sentiraient vos splendides palais.
O! Vanité des parfums de ce monde,
Roses, jasmins, qu'êtes-vous devenus
Vous embaumez à cent lieues à la ronde,
La merde passe, et l'on ne vous sent plus!
Nous voudri-ons que notre canon tonne,
Et proclamât la patrie en danger,
Nous saurions tous, en vrais fils de Bellone,
Mieux que Cambronne, emmerder l'étranger.
Dieu, pour nos sens, créa la fraîche rose,
Le papillon aux brillantes couleurs,
Les gais refrains pour les esprits moroses,
Et pour nos culs, il fit les vidangeurs.
O, Vidangeur à l'allure morose
Moque-toi bien du vil qu'en dira-t-on,
C'est la merde qui fait fleurir la rose
Honneur et gloire à tous nos beaux étrons,
Messieurs, Mesdam's, si par ma chansonnette
J'ai déridé vos fronts par trop rêveurs.
Quand vous pass'rez devant un' pompe honnête,
Venez, ensembl', nous pomperons en choeur,
Refrain (1ère partie)
Parlé:
Arrêtez, un homme est tombé dans la fosse.
Sauvez-le, sauvez le!
Trop tard!
Oh! Merde!
Refrain (2e partie).
Le Pou et l'Araignée
Un pou s'baladait dans la rue,
Il rencontra chemin faisant, chemin faisant,
Une araignée bon enfant
Qui s'en allait court vêtue;
Ell' vendait du verr' pilé,
Pour s'ach'ter des p'tits souliers.
Là tu, là tu m'emmerdes
Là tu,là tu m' fais chier
Tu nous emmerdes
Tu nous fais chier
Tu nous emmerdes
Tu nous fais chier
Et on entend dans les champs
S'masturber les éléphants,
Et on entend dans les prés,
Gazouiller les chimpanzés,
Et on entend sous les ormeaux
Battr' la merde à coup d' marteaux,
Et on entend dans les plumards
Battr' le foutre à coup d' braquemarts.
Non, non,non, non, Saint Eloi n'est pas mort (bis)
Car il bande encore (bis)
Le pou voulait la séduire
L'emm'na chez l' mastroquet du coin, troquet du coin,
Lui fit boir' cinq, six coup's de vin,
L'araignée ne fit qu'en rire.
La pauvrett' ne s' doutait pas
Qu'ell' courait à son trépas.
Le pou lui offrit une prise
En lui disant d'un air joyeux, d'un air joyeux,
Fous-toi ça dans les narines
Et mouch'-toi avec ta ch'mise.
L'araignée qu'en avait pas
Lui fit voir tous ses appas.
Le pou qui n'était qu'un' canaille
Lui offrit trois francs et six sous, trois francs et six sous:
"Eh! Dis donc, c'est pas l' Pérou
Ca ne me dit rien qui vaille,
Si tu m' donn's quatr' sous de plus
J' te ferai voir le trou d' mon cul".
C'est ici qu' les horreurs commencent
Le pou grimpa sur l'araignée, sur l'araignée
Et n’put s'en décoller
Tant il eut de jouissance,
Si bien qu' la pauvre araignée
Ecop' d' la maternité.
Le pèr' d' l'araignée en colère
Lui dit: "Tu m'as déshonoré, déshonoré,
Tu t'es laissée enceinter,
T'es aussi putain qu' ta mère!"
L'araignée de désespoir
S'est foutu treiz' coups d' rasoir.
Le pou, le désespoir dans l'âme,
S'arracha des poignées d' cheveux, poignées d' cheveux
Puis disant: "Y a plus d' Bon Dieu",
Il monta à Notre-Dame
Et c'est là qu'il s'est foutu
Quand je bande
Je me demande
Où ma pine va s'arrêter
De mon vit fermer
Jaillit le sperme
Comme l’eau douce
Jaillit des rochers
Chasseur as tu vu
Le trou de mon cul
Quand j' débande
Elle se demande
Ou ma chair a bien pu passer
De mon vit fermer
Jaillit le sperme
Comme l’eau douce
Jaillit des rochers
Chasseur as tu vu
Le trou de mon cul
Quand je rebande
Je me demande
Par quel coté
Je vais l’enfiler
Ses fesses brunes
Polissent mes burnes
Comme l’eau douce
Polit les rochers
Chasseur as tu vu
Le trou de mon cul
Il est ovale
Mon trou de balle
Il est ovale
Le trou de mon cul.
En Revenant de Paris chez ma Tante
En revenant, de Paris chez ma tante,
Oh, la la, Oh la la la la la la la la la la la la la la
En revenant de Paris chez ma tante,
Tiens voilà mon zob, zob, zob, tiens voilà mon zob,
zo-bi
J’ai rencontré, trois jeunes filles charmantes,
Oh, la la, Oh la la la la la la la la la la la la la la
J’ai rencontré, trois jeunes filles charmantes,
Tiens voilà mon zob, zob, zob, tins voilà mon zob,
zo-bi
J’ai pas choisi, mais j’ai pris la plus grande,
Je l’ai monté, dans ma plus haute chambre,
J’lui ai filé, cinq à six coups de lances,
Quand j’eu fini, elle m’a dit « recommence ! ! ! »,
J’lui ai répondu, y’a plus d’jus dans la lampe,
Si tu en r’veux, t’as qu’à revenir Dimanche,
C'était en rev'nant du Piémont (bis)
Nous étions six jeunes garçons (bis)
De l'argent nous n'en avions guère,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
A nous six nous n'avions qu'un sou
Sans devant derrière et par derrier' surtout!
Nous arrivâm's à un logis (bis)
"Madam' l'hôtess', qu'avez-vous cuit " (bis)
"J'ai du lapin, du civet d' lièvre,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
Et de la bonne soupe aux choux"...
Et quand nous eûmes bien dîné (bis)
"Madam' l'hôtesse où nous loger " (bis)
"Vous coucherez sur la litière,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
Ou bien vous couch'rez avec nous"...
Sur les onze heur's on entendit (bis)
L'hôtesse pousser de grands cris: (bis)
"Vous m'avez rompu la charnière,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
Allez-y donc un peu plus doux"...
Et la bonn' qui était en bas (bis)
Dit: "N'y en a-t-il pas pour moi " (bis)
Y en aura pour la chambrière.
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Car nous tirons chacun six coups...
Mais quand ce fut sur les minuit (bis)
Il se fit un bien plus grand bruit (bis)
Le lit du d'ssus se fichait par terre
Sans dessus dessous sans devant derrière
Avec la bonn' qui baisait d'ssous...
Quand vous repass'rez par ici (bis)
Souvenez-vous du bon logis (bis)
Souvenez-vous en d' la bonne hôtesse,
Qui savait si bien se remuer les fesses,
Et de la p'tite bonne au lit si doux...
Le bon roi Dagobert
Enfilait sa femme à l'envers.
Le grand saint Eloi
Lui dit: "Oh! mon roi,
Vous êtes entré
Du mauvais côté";
"C'est vrai, lui dit le roi,
Tu sais bien qu' l'envers vaut l'endroit".
Le bon roi Dagobert
Avait toujours sa queue à l'air.
Le grand saint Eloi
Lui dit: "Oh! mon roi,
Au mois de décembre
Faurt rentrer son membre".
Le roi lui dit très fier:
"Rien ne vaut le vit au grand air".
Le bon roi Dagobert
Bandait toujours comme un grand cerf.
Le grand saint Eloi
Lui dit: "Oh! mon roi,
On voit votre gland,
C'est pas élégant".
Le roi dit aussitôt:
"J'y vais accrocher mon chapeau".
Le bon roi Dagobert
Se faisait sucer au dessert.
La reine choquée
Lui dit: "C'est assez,
Devant tout l'palais
C'est vraiment très laid."
Le roi lui dit: "Souv'raine,
On n'doit pas parler la bouch' pleine."
La reine Dagobert
Choyait un galant toujours vert..
Le grand saint Eloi
Lui dit: "Oh! mon roi,
Vous êtes cocu,
J'en suis convaincu".
"C'est vrai lui, dit le roi,
Mon pèr' l'était bien avant moi
Les saints et les anges
Et le petit Jésus
Quand ça les démange
Se gratt'nt le trou du cul
Ave ave ave le p'tit doigt (bis)
Le lundi, je baise en levrette,
Le mardi, je baise en canard
Le mercredi, je fais minette
Le jeudi, je m' fais sucer l' dard,
Le vendredi, feuille de rose,
Le samedi, soixante-neuf
Et le dimanche, je me repose
Pour me refair', du foutre neuf. (bis)".
Si tu n'as jamais joué,
Comment peux-tu comprendre
Qu'on ait le coeur serré
Lorsque revient septembre
Entrant dans une église,
On ne voit d'abord rien
Qu'un vieux cochon de moine
Qui s' masturb' dans un coin
Si j' t'encule, cule, cule
Si j' t'encul' c'est pour ton bien!
Si j' te baise, baise, baise
Si j' te bais' c'est pour le mien!
Qu'un vieux cochon de moine
Qui s' masturb' dans un coin
Qui confesse les nonnes
Avec la pine en main!
...Il dit à la plus jeune
Tu reviendras demain,
...Je te ferai voir l'herbe
Qui pousse dans ma main
...Qui fait grossir le ventre
Et arrondir les seins,
...Et nous ferons ensemble
Un joli capucin
...Aux couilles tricolores
Aux poils du cul châtains
...Il ira au bordel(e)
Confesser les putains
...Il aura la vérole
Son père l'avait bien!
En revenant de la fête,
De la fêt' de Charenton
J'ai rencontré trois fillettes.
Tap' ta pine,
Qui se chatouillaient l'bouton.
Tap' ta pin' contre mon con
J'ai rencontré trois fillettes
Qui se chatouillaient l'bouton.
J'ai d'mandé à la plus belle
Tap' ta pin'
Comment donc vous appell'-t-on
Tap' ta pin' contre mon con
J'ai d'mandé à la plus belle
Comment donc vous appell'-t-on
On m'appell' la Gabrielle...
Gabrielle c'est mon nom...
Je la prends et je l'embrasse...
Et j' la couche sur le gazon...
Je déboutonn' ma braguette...
Et j'en sors mon Jean-Luron...
Jean-Luron fort en colère...
Crache au nez de Barbançon...
Barbançon qu'est fou de rage...
Avala mon Jean-Luron...
Mes deux couill's rest'nt à la porte,...
à la porte en facti-on...
Un poil du cul leur demande:...
Que faites-vous là, couillons ...
Nous attendons notre maître...
Qu'est entré chez Barbançon...
Qu'est entré la tête haute...
Sortira accordéon...
le temps est loin de nos vingt ans
des coups de poings des coups de sang
mais qu'à c'la n'tienne , c'est pas fini
on peut changer quand le verre est bien rempli
buvons encore une dernière fois
a l'amitié , l'amour , la joie
on a fété nos retrouvailles
ça m'fait d'la peine
mais il faut que je m'en aille
et souvient toi de cet été
la première fois qu'on s'est saoulé
tu m'as ramené à la maison
en chantant on marchait à reculons
je suis parti changer d'étoile
sur un navire , j'ai mis la voile
pour n'être plus qu'un étranger
ne sachant plus très bien ou m'en aller
j't'ai raconté mon mariage
à la mairie d'un p'tit village
j'ai rigolé dans mon plastron
quand le maire voulait prononcer mon nom
j'n'ai pas écrit toutes ces années
mais toi aussi tu t'es marié
t'as trois enfants à faire manger
moi j'en ai cinq si ça peut te consoler.
Dans une tour de Londres,
Y’a des morpions qui m’emmerdent la nuit
Sans bruit, sans bruit, sans bruit
Dans une tour de Londres,
Y avait un prisonnier. (bis)
Y’avait un prisonnier
La pine au cul, les couilles pendantes,
Y’avait un prisonnier,
La pine au cul, bien enfoncee,
Oh, Eh ! Oh he ho he (bis),
Il n'y voyait personne,...
Que la fill' du geôlier. (bis)
Un jour, il lui demande,...
La clef du cabinet. (bis)
Il s'assit sur le trône,...
Et se mit à chier. (bis)
En attendant qu'ça sèche,...
Il se mit à chanter. (bis)
J'emmerde la police,...
Et la maréchaussée. (bis)
Les gendarm's l'entendirent,...
Et vir'nt le trucider. (bis)
La moral' de l'histoire,...
Est qu'il faut pas chier
Sans avoir du papier.
Ils étaient vingt ou trente
Brigands dans une bande
Chacun sous le préau
Voulait me toucher -- vous m'entendez
Chacun sous le préau
Voulait me toucher un mot
Un beau jour sur la lande
L'un d'eux se fit très tendre
Et d'un petit air guilleret
Vint me trousser -- vous m'entendez
Et d'un petit air guilleret
Vint me trousser un couplet
Comme j'étais dans ma chambre
Un matin de septembre
Un autre vint tout à coup
Pour me sauter -- vous m'entendez
Un autre vint tout à coup
Pour me sauter au cou
Un soir dans une fête
Un autre perdit la tête
Et jusqu'au lendemain
Voulut me baiser -- vous m'entendez
Et jusqu'au lendemain
Voulut me baiser les mains
Le vent soulevait ma robe
Quand l'un d'eux d'un air noble
S'approcha mine de rien
Et caressa -- vous m'entendez
S'approcha mine de rien
Et caressa mon chien
Comme je filais la laine
Un autre avec sans-gêne
Sans quitter son chapeau
Vint me peloter -- non mais, vous m'entendez
Sans quitter son chapeau
Vint me peloter mon écheveau
Comme j'étais à coudre
Ils rappliquèrent en foule
Et voulaient les fripons
Tous m'enfiler -- vous m'entendez
Et voulaient les fripons
M'enfiler mon coton.
Celui qui sût me prendre
C'est un garçon de Flandre
Un soir entre deux draps
Ce qu'il me fit -- vous m'entendez
Un soir entre deux draps...
Je ne vous le dirai pas !
Le Père Adam, trois jours avant la faute,
Au Paradis ronflait comme un cochon
Pour le punir, Dieu lui prit une côte,
Souffla dessus et fit le premier...
Trim, troum, tram, laridondaine,
Trim, troum, tram, laridondon.
Souffla dessus et fit le premier...
Qu'on nous verse à boire (ter)
Et du bon vin.
Ce qui séduit notre première mère,
Ce ne fut point ni l'arbre ni le fruit;
Le fin serpent, n'aurait pas su lui plaire,
S'il n'avait pris la forma d'un gros...
Trim, troum, tram, laridondaine,
Trim, troum, tram, laridondon.
S'il n'avait pris la forma d'un gros...
Vidons notre verre (bis)
Mes amis, buvons
Jusqu'à demain
.
Pourquoi Enée a-t-il quitté Carthage
Pourquoi Enée a-t-il quitté Didon
C'est qu'il voyait, debout sur le rivage,
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Comment Noé repeupla-t-il la terre
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Pourquoi David prit-il une pucelle
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Et si Platon n'eut jamais qu'un couillon,
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Pourquoi César franchit le Rubicon,
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Neuf mois avant que la Vierge n'accouche
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Les uns prétend'nt qu'il entra par la bouche,
Moi, je soutiens que ce fut par le...
Napoléon qu' la terre honore encore
Avait conquis cell'-ci à coups d' canon
Le monde entier lui a offert de l'or,
Marie-Louis' ne lui offrit qu' son...
Pourquoi les femm's ne vont-ell's plus en guerre
Depuis le temps du grand Napoléon
C'est qu'elles sav'nt qu' pour passer la frontière
Aux officiers il faut montrer le...
Pourquoi les femm's n'ont-elles pas de barbe
Pourquoi n'ont-ell's pas de poils au menton
C'est parce qu'elles sont bien trop bavardes,
Mais en revanche, ell's n ont sur le...
Allons, Messieurs, encore une bouteille
De ce bon vin qui fait perdr' la raison
Si l'on boit peu, le soir on fait merveille;
Si l'on boit trop, on s'endort sur le...
Les imbécil's, ainsi que les vicaires,
Auraient voulu supprimer ma chanson
Aucun d'entr'eux ne serait sur la terre
Si leur maman n'avait prêté son...
Bénissez-moi mon pèr', je vous convie,
Donnez-moi vite votre absolution
Le seul péché que j'ai fait dans ma vie
C'est d'avoir trop joué avec leur...
Le troubadour
C'est la reine d'angleterre
Qui traversa les mers
Pour voir si les français
Baisaient comme les anglais
Ah saperlipopette
Ah sacré non de non
C'est encore la levrette
Qui avait le pompon
C'est le troubadour, c'est le troubaba
Qui chante la nuit et qui chante le jour
C'est le troubadour c'est le troubaba
Qui chante la nuit le jour
C'est la reine d'espagne
Qui dit a son mari
J'aime bien le champagne
Mais je préfère ton vit
Ce soir au clair de lune
Mon petit alfonso
Je taillerai une plume
Pour mettre a ton chapeau
C'est la reine d'autriche
Qui sur son canapé
Se faisait peloter les miches
Par un petit français
Mais au mois de septembre
Au chose inattendu
Elle s'aperçu son ventre
Etait plus gros que son cul
C'est la reine d'Italie
Qui a l'jet si puissant
Qu'elle pisse à la volée
Par-dessus les Balkans
C'est l'empereur du Siam
Qui n'ayant pas d'enfants
Fit enculer sa femme
Par un éléphant blanc
Quand nous irons en Chine
Les femmes des Mandarins
Nous suceront la pine au son des tambourins
Je baise les grenouilles
J'encule les crapauds
Qui me sucent les couilles
Le soir au bord de l'eau
C'est la reine de France
Qui dit à son mari
Vas-y mon petit Louis
Enfonce le donc ton Vit
Mais le 14 juillet
O chose inattendue
Ce sont les républicains
Qui le lui ont mis dans le cul
J'ai beaucoup voyagé
Et j'ai beaucoup baisé
Les blondes et les brunes
Le cul dans le fossé
Et quand on a appris
Qu'on était infecté
Alors on s'est dit qu'il fallait s'protéger
Dans un grand salon de Provence
Un jeune homme élégamment mis,
Beau garçon, plein d'insouciance,
Un soir d'hiver s'était permis
D'envoyer à une danseuse
Un fort aimable billet doux,
Dans lequel d'un' manière heureuse
Il proposait un rendez-vous (bis).
Le jeune homme, ardent à la lutte,
Ecrivait deux mots seulement:
"Quinze louis, quinze minutes,
Quinz' centimètr's, c'est épatant"
La jeun' vierg' lui répondit vite:
"Vingt-cinq louis, vingt-cinq minutes,
Vingt-cinq centimètr's, et... de suite"
Répondait un p'tit mot ècrit (bis).
Recevant la correspondance
Le jeune homme d'abord pâlit,
Puis sans perdre sa contenance
A la danseuse il répondit:
"Vingt-cinq louis, je peux les mettre,
Vingt-cinq minut's, ça m'est égal
Mais pour les vingt cinq centimètres
Je vous enverrai mon cheval" (bis).
Quand il me prend dans ses bras,
Qu'il me met un gros doigt,
Je vois sa bite en rose.
Il me défracte l'anus,
Me fait un cunilingus
Et ça me fait tout drôle.
Il est entré dans mon cul
Avec son gros dard poilu
Qui ne sent pas la rose.
C'est son gros vit, sa grossse bite, son gros braque
Il me le met bien profond dans la chatte
Et quand il me sodom'
Alors je sens en moi ce qu'est un homme
M'sieur l' curé de Saint Sauveur
Il est mort' il s'est pendu,
Les oiseaux n'ont pas eu peur
D' fair' leur nid dans l' trou d' son cul.
Ils ont des chapeaux ronds
Vive la Bretagne!
Ils ont des chapeaux ronds
Vive les Bretons!
L'autre jour passant Place Vert'
J'entendis un chien péter
ça prouvions que c'tte pauvr' bêt'
N'a point l' trou du cul bouché.
Le curé, c'est un bon zouille,
Il donn' tout il garde rien
S'est coupé la peau des couill's
Pour fair' un' niche à son chien.
Jésus-Christ a un' quéquette,
Pas plus gross' qu'une allumette,
Il s'en sert pour faire pipi:
Viv' la quéquette à Jésus-Christ!
A Paris' les vieill's bigotes,
March'nt toujours les yeux baissés,
C'est pour voir dans notr' culotte
Si l' chinois n'est pas dressé.
Il paraît qu'en Angleterre,
Par un procédé nouveau
On transform' les culs d' bell'-mère
Pour en fair' des chars d'assaut.
Il paraît qu'en Amérique,
Par un procédé chimique
On fait fondr' les couill's des flics
Pour en fair' des élastiques.
Mon grand-père et ma grand mère
Ont l'habitud' de coucher nus,
Ma grand-mère est carnassière,
L'a mordu l' pépé au cul.
L'autre jour sortant d' chez nous
Je rencontr' deux amoureux
Qui f'saient sur un tas d' cailloux
C' qu' les gens mariés font chez eux.
Si mon père il bais' ma mère,
Ce n'est point par amus'ment,
C'est pour m' faire un petit frère,
Qui mèn'ra la vache aux champs.
'aim' mon père et j'aim' ma mère
J'aime aussi mon bourricot,
L' bourricot' j' peux monter d'ssus
Sur ma mèr' c'est défendu.
M'sieur l' curé de Saint-Viaud
Qu'a un' vache et point de taureau;
Il fait le taureau lui-même
Ca fait des p'tits viaux quand même.
Ils étaient quatr' pauvres diables
Qui n'avaient pas d' quoi s' chauffer;
Ils ont chié sur la table
S' sont chauffés à la fumée.
Dans l' désert' les dromadaires
Ont la peau tell'ment tendue
Que pour fermer les paupières
Ils doiv'nt ouvrir l' trou d' leur cul.
Le curé de Saint-Martin
Qui sait tout et qui n' sait rien
A coupé la queue d' son âne
Pour la mettre à son p'tit chien.
Dans le ciel' y a des étoiles
Qui nous font lever les yeux,
Sur la terre il y a des femmes
Qui nous font lever la queue.
A l'enterr'ment d' ma bell'-mère
J'étais devant, j'étais derrière,
J'étais derrièr', j'étais devant,
J'étais seul à l'enterr'ment.
Vivent les Etudiants
Vivent les étudiants, ma mère
Vivent les étudiants,
Ils ont des femmes et pas d'enfants,
Vivent les étudiants.
Et on s'en fout, d' la syph' et d' la vérole;
Et on s'en fout des femm's qui n'ont pas d' trou
Avec des poil autour!
Vivent les étudiantes,...
Ell's aim'nt avoir la pine au ventre...
Vivent les avocats,...
Ils ont des couill's en chocolat...
Vivent les médecins,...
Ils voient les femm's à poil pour rien...
Vivent les carabines,...
Ell's adorent vous sucer la pine...
Vivent les pharmaciens,...
Ils ont l' permanganat' pour rien...
Vivent les pharmaciennes,...
Ell's sont putains ou bien lesbiennes...
Vivent les ingénieurs,...
Ils mont'nt leurs femm's à la vapeur...
Vivent les sorbonnards,...
Ils ont des couill's en peau d' lézard...
Vivent les profs de math,...
Ils ont des couill's comm' des tomates...
Vive l'informatique,...
Ils font l'amour tout en logique...
Vivent les littéraires,...
Il leur faut des boutons en fer...
Vivent les juristes,...
Ils ne sont pas unicouillistes...
Viv'nt les vétérinaires,...
Ils march'nt toujours la queue en l'air...
Vivent les carabins,...
Ils ont chacun trent'-six putains...
Vivent les P.C.B.,...
Ils ont les couill's galvanisées...
Vivent les Arts-Déco,...
Ils ont les couill's près du pinceau...
Vivent les collégiens,...
Ils font l'amour dans l'creux d' leur main...
Viv' le Quartier Latin,...
Toutes le s fill's y sont putains...
Vive notr' professeur,...
Ell' se sert d'un vibromasseur...
Vivent les Jésuites,...
C'est dans la merd' qu'ils fout'nt leur bite...
Vivent les aviateurs,...
Ils lèv'nt la queue tous les quarts d'heure...
Vivent les aviatrices,...
Ell's ont le manche entre les cuisses...
Vivent les coloniaux,...
Ils ont des couill's en peau d' chameau...
Vivent les cavaliers,...
Ils mont'nt les femm's sans étrier...
Vivent les artilleurs,...
Ils tir'nt un coup tous les quarts d'heure
In Dublin's fair city,
where the girls are so pretty
I first set my eyes on sweet Molly Malone
As she wheel'd her wheel barrow
Thro' streets broad and narrow
Crying "Cockles and Mussels alive, alive O!"
Alive, alive O! Alive, alive O
Crying Cockles and Mussels Alive, alive O!
She was a fishmonger,
But sure 'twas no wonder,
For so were her father and mother before,
And they each wheel'd their barrow
Thro' streets broad and narrow,
She died of a fever
And no one could save her,
And that was the end of sweet Molly Malone;
But her ghost wheels her barrow
Thro' streets broad and narrow
O Flower of Scotland
When will we see
Your like again,
That fought and died for
Your wee bit Hill and Glen
And stood against him
Proud Edward's Army,
And sent him homeward
Tae think again.
The Hills are bare now
And Autumn leaves lie thick and still
O'er land that is lost now
Which those so dearly held
That stood against him
Proud Edward's Army
And sent him homeward
Tae think again.
Those days are past now
And in the past they must remain
But we can still rise now
And be the nation again
That stood against him
Proud Edward's Army
And sent him homeward,
Tae think again.
O Flower of Scotland
When will we see
Your like again,
That fought and died for
Your wee bit Hill and Glen
And stood against him
Proud Edward's Army,
And sent him homeward
Tae think again.
Ka mate -- Ka mate
Ka ora -- Ka ora
Ka mate -- Ka mate
Ka ora -- Ka ora
Tenei Te Tangata Puhuruhuru
Nana i tiki mai whakawhiti te ra
Upane -- Upane
Upane Kaupane
Whiti te ra
It is death -- It is death
It is life -- It is life
It is death -- It is death
It is life -- It is life
This is the hairy man
Who caused the sun to shine again for me
Up the ladder -- Up the ladder
Up to the top
The sun shines!
Swing low, sweet chariot
Comin' for to carry me home;
Swing low, sweet chariot
Comin' for to carry me home.
I looked over Jordan, and
What did I see,
Comin' for to carry me home
A band of angels comin' after me,
Comin' for to carry me home
Swing low, sweet chariot
Comin' for to carry me home
If you get there before I do
Comin' for to carry me home,
Tell all my friends I'm comin' too
Comin' for to carry me home
Swing low, sweet chariot
Comin' for to carry me home;
Sometimes I'm up, Sometimes I'm down,
Comin' for to carry me home;
Yet still my soul feels heavn'ly bound,
Comin' for to carry me home
Swing low, sweet chariot
Comin' for to carry me home
Father Abraham had seven sons.
Seven sons had father Abraham.
And he never laughed, and he never cried.
All he did was go like this
with his left (arm)
with his right (arm)
with his other left (leg)
with his other right (leg)
all around
With the HOOOO……
And the AAAHH…….
And the BLBLBL…….
Quand on demande aux petits enfants,
FAN FAN FAN FAN
S'ils sont venus dans la cheminée,
NE NE NE NE
Ils vous répondent, c'est évident,
DENT DENT DENT DENT
En suçant du réglisse et du cachou,
CHOU CHOU CHOU CHOU
FANFAN NENE DENTDENT CHOUCHOU
FANFAN NE DENT CHOUCHOU
Ah ah ah c'est papa , ah ah ah c'est maman
Ah ah ah qui nous ont appris tout ça (bis)
Quand ils savent qu'on ne les voit pas,
PAS PAS PAS PAS
Ils s'en vont voler sur le buffet,
FET FET FET FET
Ah les petits chenapants,
PANTS PANTS PANTS PANTS
La tirelire où l'on met les écus,
CUS CUS CUS CUS
PAPA FET FET PANTS PANTS CUS CUS
PAPA FAIT PANPAN CUCU
Ah ah ah c'est papa, ah ah ah c'est maman
Ah ah ah qui nous ont appris tout ça (bis)
Le matin ils se lèvent très tôt,
TOT TOT TOT TOT
La maman leur peigne les cheveux,
VEUX VEUX VEUX VEUX
Et le soir ils reviennent crottés,
TE TE TE TE
Le nez sale et de la boue jusqu'au genoux,
NOUX NOUX
TOTO VEUX VEUX TETE NOUNOU
TOTO VEUX TETE NOUNOU
Ah ah ah c'est papa, ah ah ah c'est maman
Ah ah ah qui nous ont appris tout ça (bis)
Je m'baladais sur l'avenue
Le coeur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui
N'importe qui et ce fût toi
Et je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler
Pour t'apprivoiser.
Aux Champs Elysées
Aux Champs Elysées
Au soleil, sous la pluie
A midi ou à minuit
Il y a tout c'que vous voulez
Aux Champs Elysées.
Tu m'as dit j'ai rendez-vous
Dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main
Du soir au matin
Alors je t'ai accompagné
On a chanté, on a dansé
Et on a même pas pensé
A s'embrasser.
Hier soir deux inconnus
Et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis
Par la longue nuit
Et de l'étoile à la concorde
Un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du points du jour
Chantent l'amour.
Les COPAINS D'abord
Non ce n'était pas le radeau
On a dansé les Parisiennes
le petit nez et le chapeau
on a chanté les Madrilènes
qui vont aux arènes
voir les toreros
On prétend que les Norvégiennes
filles du nord ont le sang chaud
et bien que les Américaines
soient les souveraines
du monde nouveau.
On oublie tout sous le soleil de Mexico
on devient fou au son des rythmes tropicaux
si vous avez un jour la veine
de pouvoir prendre le bateau
venez goûter une semaine
d'aventure mexicaine
sous le soleil de Mexico
Mexico, Mexiiiiiiiiiiiico
Sous ton soleil qui chante et rit
le temps parait trop court
pour gouter au bonheur de chaque jour.
Mexico, Mexiiiiiiiiiiiico
Tes filles sont ardentes
et tu seras toujours
le paradis des cœurs
et de l'amour.
Une aventure mexicaine
sou le soleil de Mexico
ca dure a peine une semaine
mais quelle semaine
et quel crescendo!!
Le premier soir on se promène
on danse un tendre boléro
puis le second on se déchaîne,
plus rien ne nous freine,
on part au galop.
C'est un fameux trois mats , fin comme un oiseau
hisse et ho ! santiano
dix huit nœuds , quatre cents tonneaux
je suis fier d'y être matelot
tiens bon la barre et tiens bon le vent
hisse et ho ! santiano
si dieu veut toujours droit devant
nous irons jusqu'à San-Francisco
je pars pour de long mois en laissant Margot
hisse et ho ! santiano
d'y penser j'avais le cœur gros
en doublant les feux de Saint-Malo
on prétend que là bas l'argent coule à flot
hisse et ho ! santiano
on trouve l'or au fond des ruisseaux
j'en ramènerai plusieurs lingots
un jour je reviendrai chargé de cadeaux
hisse et ho ! santiano
au pays j'irai voir margot
à son doigt je passerai l'anneau
tiens bon le cap et tiens bon le flot
hisse et ho ! santiano
sur la mer qui fait le gros dos
nous irons jusqu'à San-Francisco
Je suis arrivé un beau matin
Du mois de mai
Avec à la main
Mes beignets qu'ma mère m'avait fait
Ils m'ont demandé
Mon nom, mon métier
Et quand fier de moi
J'ai dit artiste de variété
A ce moment-là
Juste derrière moi
J'ai entendu rire
Un type que j'ne connaissais pas
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du capitaine des Dragons
Le rire du sergent
Un matin de printemps
Ma fait comprendre comment gagner du galon
Sans balayer la cour
En chantant simplement
Quelques chansons d'amour
Le rire du sergent
La folle du régiment
Avait un coeur de troubadour.
Je m'suis présenté
Tout nu devant un infirmier
Moyennant dix sacs
Il m'a dit "Moi j'peux vous aider"
Je m'voyais déjà
Retournant chez moi
Mais quand ils m'ont dit
Que j'étais bon pour dix huit mois
A ce moment là
Juste derrière moi
J'ai entendu rire
Un type que j'ne connaissais pas
Depuis ce temps là
Je n'sais pas pourquoi
Il y a toujours un sergent
Pour chanter avec moi
Je l'ai vu près d'un laurier elle gardait ses blanches brebis
Quand j'ai demandé d'où venait sa peau fraîche elle m'a dit
C'est d'rouler dans la rosée qui rend les bergères jolies
Mais quand j'ai dit qu'avec elle je voudrais m'y rouler aussi
Elle m'a dit ...
Elle m'a dit d'aller siffler là-haut sur la colline
De l'attendre avec un petit bouquet d'églantine
J'ai cueilli des fleurs et j'ai sifflé tant que j'ai pu
J'ai attendu attendu elle n'est jamais venue
Zaï Zaï Zaï Zaï ...
Oh oh oh oh oh oh ...
A la foire du village un jour je lui ai soupiré
Que je voudrais être une pomme suspendue à un pommier
Et qu'a chaque fois qu'elle passe
elle vienne me mordre dedans
Mais elle est passée et tout en me montrant ses jolies dents
Elle m'a dit ...
Si tu vas à Rio
N'oublie pas de monter là-haut
Dans un petit village
Caché sous les fleurs sauvages
Sur le versant d'un coteau.
C'est à Madureira
Tu verras les cariocas
Sortir des maisonnettes
Pour s'en aller à la fête
A la fête des sambas.
Et tu verras grimpant le long des collines
Des filles à la taille fine
Avancer à petits pas
Et les fanfares
Dans ce joyeux tintamarre
Emmener le flot bizarre
Des écoles de sambas.
Qui préparent le bal
Et s'en vont pour le Carnaval
Répéter la cadence
De la plus folle des danses
Celle de Madureira.
Si tu vas à Rio
N'oublie pas de monter là-haut
Dans un petit village
Caché sous les fleurs sauvages
Sur le versant d'un coteau.
C'est à Madureira
Tu verras les cariocas
Sortir des maisonnettes
Pour s'en aller à la fête
A la fête des sambas.
Et tu verras grimpant le long des collines
Des filles à la taille fine
Avancer à petits pas
Et les fanfares
Dans ce joyeux tintamarre
Emmener le flot bizarre
Des écoles de sambas.
Si tu vas à Rio
N'oublie pas de monter là-haut
Dans un petit village
Caché sous les fleurs sauvages
Sur le versant d'un coteau